Cloques douloureuses [PV 7ème année]
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okMJ

Elliot Rosier
Elliot Rosier
Gallions : 99
Une semaine. Une longue semaine où Elliot cherchait une vengeance assez forte pour gâcher la vie de Saïd Wilkes. Ou du moins, sa journée ! Laisse tomber, m’avait dit Leo. Mais non, jamais je ne laisserais tomber ! Jamais !!! On a touché Elliot Rosier dans son honneur … Donc Wilkes n’allait pas s’en sortir impunément ! Le jeune homme tournait en rond, et même pendant les cours, il n’écoutait pas, concentré, faisant marcher ses méninges. Et subitement, il bondit sur sa chaise, en plein cours d’histoire de la magie.

« JE SAIS !! »

« Non, tu ne sais pas … », soupira Leo, à côté de lui, d’un air perplexe et inquiet.

Oh oui Leo, tu peux être inquiet !!! L’adolescent avait trouvé l’idée du siècle !! Et il le fit bien comprendre avec un grand sourire idiot. Ce sourire qu’il porte sur ses lèvres lorsqu’il a quelque chose derrière la tête. Une idée stupide qui pouvait avoir pas mal de conséquences.


***

Et voila, il était maintenant temps d’agir. J’ai réfléchis à tout. Tout est parfaitement en place. Pendant que nous avions cours de botanique, les 7ème années avaient Sortilèges. Je n’avais pas mis Leo dans la confidence, parce que je savais qu’il trouverait un moyen de me dissuadé de force. Et pourtant, mon serviteur me connaissait comme s’il m’avait fait, car en voyant mon visage, il fronça les sourcils derrière ses lunettes.

« Tu sais que tu es tellement stupide que quelque soit ton plan, il va foirer et tu vas être collé. »

Roh tait toi donc Leo ! Cette fois-ci, il n’y avait aucune faille. Bien sur que je vais être collé, mais au moins, ma cible sera atteinte. Tant pis pour les dommages collatéraux. C’est le risque du métier. Un leader doit savoir faire des sacrifices quand il n’y a pas d’autres choix. Rien de ce qu’il pouvait dire me ferait changer d’avis. Et bien que Leo me surveillait de près, il ne compris que trop tard que mon plan débutait en cours de Botanique.

L’excitation était à son comble. Le professeur Chourave nous expliqua le programme de nos deux heures de cours. Programme que je n’écoutais absolument pas, les yeux fixés sur une horrible plante qui se dandinait dans une des serres, et qui semblait m’appeler. Leo suivit mon regard et compris.

« N’y pense même pas, crétin ! »

Le grand sourire que je lui adressais lui fit comprendre que si, justement, j’y pensais. Et même mieux que penser, j’allais agir. Ne soit pas rabat-joie Leo ! Le cours commença. Un des élèves fit diversion en occupant la prof avec plein de questions sur une des plantes. Discrètement, je m’échappais dans la seconde serre pour regarder l’objet de mes convoitises.

Bubobulb [Bubotuber]
Un bubobulb ressemble à une grosse limace noire et épaisse (elle se tortille même légèrement, même si elle est plantée verticalement) couverte de pustules brillantes pleines de pus vert jaunâtre dégageant une forte odeur d'essence. Comme le Professeur Chourave en informa ses élèves de quatrième année, le pus réagit bizarrement en contact avec la peau. Non dilué, il provoque l'apparition de cloques très douloureuses, mais correctement dilué et traité il peut être utilisé pour soigner l'acné.

Cloques douloureuses [PV 7ème année] C26-the-second-task
Et vous pensez bien qui si par le pire des hasards, le bubobulb est arraché, et que toujours par hasard, le pus tombe sur un certain élève, et bien il ne sera pas dilué. Mais encore une fois, ce n’est qu’un hasard !! Pris de ricanement, j’enfilais des gants de sécurité, ne voulant pas prendre de risque d’être touché par le pus.

« Elliot ne fait pas ça. »
« Pousse toi Leo, sinon tu risques d’être touché ! »

N’écoutant pas du tout mon serviteur, j’arrachais le bubobulb de sa plantation pour le soulever avec précaution, les bras tendu loin de mon cœur. Toujours sans me faire remarquer, je quittais la serre pour regagner le château, suivit par Leo qui essayait toujours de me dissuader. Non mon ami, pas question de retourner sagement dans la serre ! Je ne vais pas abandonner aussi près du but !! Le pus coulait et touchait le sol, salissant les couloirs du château, alors que quelques limaces suivirent le même chemin. D’ailleurs j’en écrasais une part mégarde sur mes pieds, beurk !

Enfin, j’arrivais au troisième étage, devant la salle de classe de sortilèges, où la plupart des 7ème années étaient rassemblés. Leo se mit brusquement devant la porte pour m’empêcher d’entrer.

« Elliot, réfléchit ! Déjà tu vas être collé, mais en plus, tu crois sérieusement que Wilkes ne va pas se venger ? Laisse ta fierté de côté. Rien que le fait d’être venu jusqu’à là avec cette idée en tête prouve que tu en as dans le pantalon …. Et aussi que tu es le gars le plus stupide que je n’ai jamais vu ! Allons-nous en maintenant ! »

« Leo, Leo, pousse toi ou je t’en fous dessus ! C’est un ordre ! »

Preuve que je ne plaisantais pas, j’approchais la plante vivante de mon serviteur, qui finalement abandonna et s’écarta pour éviter d’être prit de cloques douloureuses. Prenant la bestiole d’une main, j’ouvris brusquement la porte. Tous les regards se retournèrent vers moi, sans avoir le temps de réaliser ce qu’il se passait. Balayant la salle du regard, il ne me fallu que quelques secondes pour trouver Wilkes, tout au fond ! Trouvé !! Maintenant on vise !!! Et on tire !!!! Jetant la plante de toutes mes forces, celle-ci voltigea dans toute la classe et atterrit en plein visage de Wilkes, qui fut recouvert de pus et de limaces. Je sautais sur place dans un crie victorieux.

« Touché coulé !!!!! …… ….. …… Oups. »

Oui, oups. Parce qu’en traversant la classe, et sous la force du coup, du pus s’était échappé, ainsi que les limaces pour toucher et salir les autres élèves, les plus proches de la trajectoire et d’autres plus loin. …. Les fameux dommages collatéraux. Aïe !

Spoiler:

okMJ

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NPC Lise
Gallions : 268
LEO NIGHTRAY

Cloques douloureuses


Ce stupide Elliot !!! D’après ce que j’ai compris, il a eu une altercation avec son père biologique aussi aliéné que lui. Grave erreur, on ne provoque pas impunément le grand Elliot Rosier, touché dans son honneur surdimensionnement crétine. Il va faire une connerie, je le sens, je le sais. Ce petit être dépourvu d’intelligence humaine va s’attirer des ennuis. Et qui va être complice ? C’est bibi ! Parce qu’évidemment, je ne peux pas laisser Elliot agir seul, il est tellement bête que quoi qu’il fasse, ça se retourne toujours contre lui. J’ai donc tenté de le dissuadé durant toute la semaine, où il paraissait ailleurs, concentré dans ses désires de vengeances. Il ne m’écoutait pas. D’ailleurs, m’a-t-il déjà écouté ? Non. C’est sans doute pour cela qu’il lui arrive que des ennuis. Mais bon, il a une case en moins. Vu l’identité de ses parents biologiques, c’est pardonnable.

Mais qui aurait pu croire qu’il ferait quelque chose d’aussi stupide ?

C’est en cours de botanique que je compris ce qui lui passait par la tête. Les yeux de mon imbécile de maitre étaient fixés sur la seconde serre, ou plus précisément vers cette plante dangereuse qu’on avait étudié le cours dernier. Oh non ce n’est pas vrai ! Mais qu’est-ce que tu peux être benêt !! Elliot ne fait pas ça !!! Mais quel abruti !! Le voila déjà parti dans l’autre serre. Je le suivis, tentant en vain de le raisonner. Lorsqu’il avait quelque chose dans la tête impossible de lui enlever. Mais je connaissais parfaitement cette chose qui me sert d’ami. Tous ces plans ridicules avaient des failles et les conséquences se retournaient contre lui. J’étais persuadé que cette fois là n’échapperait pas à la règle même s’il me disait que tout était parfait.

C’est pourquoi, arrivé devant la classe de Sortilège, je me mis devant la porte, l’empêchant d’entrer. Essayer d’entrer une ultime fois, je dus cependant m’écarter pour ne pas être touché par le pus. Des cloques ? Très peu pour moi, merci !

Elliot entra, et ce qui devait arriver, arriva.

« ELLIOT, NON ! »

Saïd Wilkes se reçu la plante en pleine figure. Outch, il va avoir le visage bien enflé. …. Elliot, tu vas te faire massacrer, il va te tuer !! … Aïe ! Et je crois que ce n’est pas le sol. Instinctivement, je reculais d’un pas, alors que le pus et les limaces avaient touché pas mal d’élèves de la classe, dont certains de la promotion de 1976. … Qui ne sont pas connus pour leur gentillesse.

Aïe Aïe Aïe ! Et qui va se faire massacrer avec toi Elliot ? C’est bibi !

«La faille. …… Je crois que c’est le moment de s’éclipser. »

Vous voyez ? Je vous l’ai dit que ses plans ont toujours des failles !! Je te préviens Elliot, si jamais on me touche, je te fais ta fête ! Sachant que je pourrais quitter la pièce comme une fleur, j’attrapais le bureau du professeur Flitwick, m’en servant comme bouclier. Quant à Elliot … Et bien débrouille-toi ! Après tout, c’est de ta faute !




okMJ

Saïd S. Wilkes
Saïd S. Wilkes
Gallions : 193
http://zeblograndomness.blogspot.fr/


- Aujourd'hui nous allons étudier le sort d'Oubliette !

Il n'en fallu pas plus délivré par l'air bien trop enthousiaste du professeur Flitwick pour que Saïd plonge dans un profond sommeil sans retour. Il n'accordait aucun intérêt aux sorts qui n'impliquait ni l'offense, ni la défense. Tout ce qui ne pouvait être utilisé en combat était pour lui d'aucune utilité. Bousiller la mémoire de quelqu'un pouvait être utile mais ça, les élèves de septième année savaient déjà le faire. Ce cours visait à approfondir la pratique de ce sort pour savoir et contrôler quel genre de souvenirs seraient ôtés et éventuellement comment reboucher les trous. Intéressant ? Pas pour le ronfleur au fond de la salle.

La petite voix de Flitwick fit office de berceuse très efficace. L'élève ne fit pas de rêve particulier ou du moins les images qui se succédaient derrière ses paupières closes étaient trop vagues et saccadées pour raconter quoi que ce soit. Du feux, une rue sombre, des moutons égorgés. Toute la merde que contenait le cerveau de Saïd tanguait paisiblement dans son crâne. Jusqu'au moment où le fracas de la porte de classe le sortit de la torpeur.

La tête de mouton releva vivement la tête juste à temps pour se recevoir quelque chose d'horriblement visqueux sur le visage. Derrière les nombreuses choses gluantes qui se tortillaient, son visage de crispa de dégoût. Il n'eut cependant pas vraiment le temps de faire quoi que ce soit car très vite une douleur fulgurante lui rongea tout le visage. Hurlant de douleur, Saïd tomba de sa chaise en sentant sa peau brûler et se couvrir de cloques.

Puis plus rien. L'idiot était tombé dans les pommes.

okMJ

Greyson Anderson
Greyson Anderson
Gallions : 8
Greyson n'était pas un grand fan des cours de sortilèges. C'était lent, c'était long, c'était interminable. Quand on rentrait dans le pratique ça allait, mais quand on se focalisait sur le technique, ça devenait une véritable torture.
Le jeune gryffondor était en train de prendre des notes dans un ultime effort. Sa joue était appuyé contre la paume de sa main et ses paupières était lourde, le clignements de ses yeux était de plus en plus fréquent, sa capacité d'analyse de moins en moins poussée et son stylo lui glissait entre les doigts.
Il n'était pas un cancre, il était juste humain, et sa tolérance à l'ennuie était grandement dépassé. C'était vraiment une chose horrible quand les minutes s'amusaient à reculer sous tes yeux. Quand tu te dis que c'est bientôt fini alors qu'en fait il s'était écoulé à peine un petit quart d'heure.
C'est dans ces moment là que l'on souhaitait qu'il y est un test d'alerte Troll ou n'importe quoi d'autre.

La porte s'ouvrit et le grand dadais sursauta et son menton échappa de sa paume ouverte, tout son corps chuta pendant un millième de seconde avant qu'il ne se redresse brusquement, c'était une sensation très désagréable.
Il ne se retourna même pas, trop lassé pour être curieux. Son voisin de table, lui, eu à peine le temps de lâcher un espèce de "Qu'est-ce c'est que cette m-" avant qu'un hurlement ne déchire le silence de la classe. Sa tête tourna vivement, il avait dans l'optique d'allez secourir celui qui venait de se faire... se faire quoi au juste ? Et bien mal lui en prit car une épaisse de chose molle et gluante percuta sa tempes avant de s'écraser sur sa copie. L'invertébré glissa sur le papier, l’imprégnant de bave, s'éloignant à une vitesse étonnante pour une créature à la réputation si lente...
Une vive douleur se propagea à l'endroit de l'impacte et beaucoup d'étudiants hurlaient, juraient et insultaient tout en se levant pour se diriger vers la sortie. Seulement, le chemin ne fit pas si facile car le sol était glissant et glisser équivalait à recevoir encore plus de cloques car le sol grouillaient de petites créatures, disséminaient ça et là, attendant le bon moment pour se glisser sous une chaussure ou attraper une petite cheville.

A travers les yeux du jeune Anderson, la classe ressemblait à un champ de bataille ; les élèves les plus blessés et sensibles se traînaient vers la sorti ou se réfugiaient sur leur chaise, utilisant leur manuel pour faire valser les bébêtes cherchant l'amour, alors que les "valides" aider leur camarades ou retroussaient leur manches pour rendre justice.

Le grand rouge et or se leva précautionneusement. Les fautifs, il les avaient entraperçu, mais ça ne l'éclairait pas beaucoup, car il ne les connaissait pas. Des serpentards évidemment. Oui c'était un préjugé, mais pourquoi fallait il que ce soit tout le temps eux ?! Petit bilan : Un étudiant au sol immobile, une petite dizaines de personne qui avaient durement essuyé les résultats de la farce et le reste se résumait à des petites brûlures (dont lui même avait la marque sur le front) ainsi qu'un professeur qui essayait de raisonner une bande d'étudiants de 17 ans furieux et paniqués.
Mettant un pied devant l'autre avec mesure il essaya de se diriger vers l'évanouis, sa nature prévenante prenant le dessus. A mi-chemin dérapa sur de la bave et se rattrapa sur un pupitre, tombant né à né sur une limace qui agita ses... -qu'est-ce que c'était au fait ? Des tentacules ? Des protubérances ? En tout cas le ver le regarda dans les yeux et, ayant surement eu le coup de foudre, il essaya de lui faire un petit bisou, approchant de ses lèvres dangereusement. Surpris il recula en sentant l’effleurement et la sensation de chaleur sur sa peau, renversant la série de bureau derrière lui. Il n'osait pas se lécher les lèvres, dégoûté. Ces trucs étaient clairement en manque d'affection et cherchaient le contacte humains.

C'était idiot mais il ne pensa pas une seule fois à utiliser sa baguette, même pas une seconde, ce qui démontrait encore qu'une fois que sorcier ou moldu, on réagissait de façon similaire devant un événement inattendu... Ou c'était juste son cas.  
A chaque fois qu'il posait sa semelle sur le sol il pouvait entendre un bruit humide et il ne souhaitait pas en apprendre plus sur l'origine de ce bruit ragoutant.
Il évita Steve qui s'agitait dans tout les sens, et sa petite amie, Melyor, qui jurait de trucider ses petites ordures pour s'agenouiller près du serpentard évanouie.

Greyson grimaça, ce n'était plus un visage que le frisé avait mais un grotesque masque d'Halloween, un assemblage de Bulles disgracieux et assez écœurant en fait. Est-ce que c'était des pustules ? Non ! En fait, il ne voulait pas savoir. Il était à coup sur urgent de l'emmener à l'infirmerie, il ne le reconnaissait même pas, il n'avait aucune idée de qui il était, c'était pour dire !
Du bout de sa baguette il écarta la boule grouillante et visqueuse qu'il se souvenait avoir vu en botanique; elle était assez singulière.

"-Monsieur ! Monsieur ! Je- Il écarta une limace qui grimpait vers le défiguré du bout des pieds. Je l’emmène à l'infirmerie.

Il n'entendait même pas ce que disait le professeur, sa voix fluette ne portait pas assez loin. En tout cas ses plans étaient compromis, car deux idiots, dont un réfugié derrière un bureau et une foule de mécontents bloquaient la porte.

-Hey, bougez vous ! J'ai besoin de passer moi ! Bande d'abrutis !

"Bande d'abrutis"... hm... Niveau violence verbale, on avait dépassé l'entendement.

okMJ

Sirius Black
Sirius Black
Gallions : 221




Le cours était déjà bien entamé lorsque Sirius fut déconcentré par des voix. Instinctivement, il regarda ses amis pour voir si l'un d'eux avait remarqué, mais il sembla être le seul. Remus, James et Peter étaient soit trop concentrés soit trop endormi pour remarquer quoi que ce soit. Sirius se retourna tout de même vers la porte d'où il pouvait capter une conversation étouffée. Des voix de jeunes élèves juste derrière la porte. Le Gryffondor fronça les sourcils, à la fois curieux et ennuyé d'être ainsi déconcentré. Ne devaient-ils pas être en cours ceux là ?

Ce fut peut-être grâce à ça que Sirius fut le plus rapide pour réagir lorsque la porte s'ouvrit brusquement, révélant deux jeunes garçons. L'un deux portait une chose visqueuse du bout des bras. Voyant ce dernier esquisser un mouvement pour le lancer, Sirius agrippa sa baguette d'une main et la tête de Peter de l'autre pour le forcer à se baisser. Et ce qu'il prédit arriva.

La bestiole vola droit vers un table du fond en répandant sur son passage des débris visqueux et des gouttes de pus. D'un geste de la baguette, Sirius forma un bouclier de Protego qui arrêta les projectiles qui volait dans la direction des Maraudeurs. Il grimaça en sentant tout de même une goutte s'échouer sur sa main, mais c'était toujours mieux que sur la tête de Peter.

Tout s'était passé si vite que la panique prit toute la classe et les élèves commencèrent à courir dans tout les sens pour éviter les petits vers du Bubobulb avide de contact humain. Sirius n'eut pas le temps de comprendre quoi que ce soit à part qu'il était particulièrement remonté. Baguette à la main, il Stupéfixa les vers qui se rapprochaient trop des Gryffondors.

Il entendit Greyson jouer les héros comme à son habitude et l'observa du coin de l’œil traîner un élève inconscient. Sirius eu une grimace de dégoût en voyant le visage complètement boursouflé de celui qui n'était même plus reconnaissable. Le pauvre avait reçu le Bubobulb en plein dans la face.
Greyson arriva vers la porte où de trouvait encore les deux malfaiteurs. Soudain prit d'un élan de colère, Sirius agrippa Peter par la manche pour l’obliger cette fois à sortir de sous le bureau.

- Dehors ! ordonna-t-il et Peter ainsi que bien d'autres affolés s'exécutèrent.

Sirius prit les devant du mouvement mais arrivant au niveau de Greyson et d'un foule grandissante d'élèves, il leva sa baguette et pointa les deux enfants.

- ¤ Incarcerem ¤ prononça-t-il sévèrement.

Des cordes jaillirent de sa baguette pour venir ligoter les deux élèves responsables de la panique. D'un autre sort, il explosa le bois du bureau bloquant la porte et les autres 7ème années ne se firent pas prier pour défoncer la porte et rejoindre les couloirs du château.

- On a particulièrement envie de se faire renvoyé aujourd'hui ? demanda-t-il sarcastiquement en les pointant de sa baguette pour les dissuader d'aggraver la situation.

- Oh voyons M.Black ! Ne leur faites pas de mal ! s'écria Flitwick, trottinant paniqué vers le petit groupe.

- Mais professeur-

- 50 points de moins pour Gryffondor ! L'usage de la magie contre vos camarades est interdit ! Jamais vous m'entendez jeune homme ? Jamais ! le coupa-t-il avec un regard insistant.

Sirius resta interdit. Il n'était déjà pas habitué à faire la police mais il ne s'attendait pas à se faire réprimander pour punir des voyous. Il chercha quelque chose à répondre mais le regard de Flitwick l'en dissuada. Il avait l'étrange impression que le professeur ne parlait pas seulement de ce qu'il s'était passé à l'instant. Comme si c'était une mauvaise habitude qu'il avait toujours été et qu'il tentait à tout prix de corriger. Mais ça n'était pas le cas...

Ne comprenant pas, Sirius baissa néanmoins sa baguette et défit les liens des deux jeunes avant de retourner à son bureau pour récupérer son sac avant d'aller à l'infirmerie pour soigner sa main. Il dégomma quelques larves pour se défouler sur le chemin.

- Et vous ! Qu- qu- ! Pourquoi ?! J'enlève 50 points à vos maisons respectives et ou irez vous expliquer à vos directeurs de maison ! Oh... par Merlin... dit Flitwick avant de se retourner vers sa classe ruinée. Il pouvait nettoyer le pus en un sort, enfermer la créature d'un deuxième, mais la panique des élèves avait complètement chamboulé les pupitres et les bancs.

okMJ

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