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- Ada Bethney
- Gallions : 124
Jeu 10 Avr - 14:04 (Δ)
Ada Bethney
Quelque peu décalée
Bon d'accord, je l'admets, la ponctualité ce n'est pas mon truc. Mais voyez vous, j'étais bien moi dans mon petit lit douillet à rêver d'Evan Rosier en serrant dans mes bras mon oreiller. Non, je déconne. Ou pas. Bref, je m'étais levé en retard ce matin là (bon un peu comme tous les matins mais osef). Voilà, je n'ai même pas le temps de déjeuner, ma vie est trop triste. Mais où va le monde ? Dans l'apocalypse. Habillée et maquillée d'une manière extravagante comme d'habitude, je sautillais tranquillement dans les couloirs, une sucette à la bouche. Non mais ce n'est pas parce que je suis en retard que je vais me presser, faut pas abuser non plus. Quoi qu'en fait, on a histoire de la magie. Faudrait pas que Monsieur Klaus Varney décide de m'exterminer en me vidant de mon sang. Allez ma belle, un effort.
Je poussais un soupire à fendre l'âme avant de grimper les escaliers. Que la vie est dure ! Qu'elle est moche, triste ! Si quelqu'un pouvait me porter sur un trône, dans les escaliers, ce serait parfait. Mais faut pas non plus rêver. Ca n'arrivera pas à moins que j'utilise un certain sortilège impardonnable. Ce qui ne risque pas d'être le cas pour le moment, je n'ai pas envie que cette vieille fripouille de Maugrey m'enferme à Azkaban ou me tue comme il a tué mes parents. Bâtard. La vie des mangemorts aussi a l'air dur ! Mais je ne vais pas non plus les plaindre …. Je préfère me plaindre moi, c'est mieux.
A arrivant dans le couloir qui menait à la salle de classe que je cherchais, je le vis de loin, de dos, qui courrait, essoufflé. Oh, plus jeune que mon loupiot à moi, mais c'était bien lui. Un large sourire étira mes lèvres.
« MON GRIFFOUUUUU ATTEND MOIIIIIIIIIIIIIII !!! »
Et me voilà à courir comme une détraquée dans le couloir, avant de lui sauter ni plus ni moi sur le dos. Je passais mes bras autour de son cou et mes jambes autour de sa taille, en me dandinant sur son dos pour essayer de voir ce qu'il se passait dans la salle de classe ouverte. Bien sur, Griffin ignorait complètement qui je suis, mais passons, ce n'est qu'un détail. Peu importe son âge, il reste mon loupiot. Mon petit pote. Même lorsqu'il aura 101 ans !!! Je me penchais un peu plus pour lui faire un bisou sur la joue (et ainsi lui laisser une jolie marque rouge) avant de poser mon regard sur Klaus, ou plutôt sur son corps.
« Euh professeur ? Qu'est-ce vous faites ? Si vous voulez sauter Katia, vous pourriez au moins aller dans votre chambre ! Oh Zoya, ma copine !! »
Oui, d'accord, je passe du coq à l'âne.
code by biscotte
- Fred Weasley
- Gallions : 5
Mer 16 Avr - 17:47 (Δ)
Le vif du sujet
Ft everything
Lorsque son frère préféré lui avait parler d’un plan, un peu stupide, pour embarrasser le nouveau prof de Poudlard…Bien évidemment, malgré la dangerosité du projet, il avait sauté à pied joint, plongeant à corps perdu dans ce plan démoniaque ! D’abord, trouver comment le gêner, ensuite ! Trouver comment mettre le plan en place ! C’est une simple interrogation qui donna naissance à ce plan :
« Je me demande comment le ministère de la magie la rendu…Stérile…Tu crois qu’ils lui ont couper le… »
Bien évidemment, quand ça parlait de truc en dessous de la ceinture, difficile de tenir son sérieux ! Il éclata de rire en imaginant le professeur être castrer comme un vulgaire chien. Ou mieux encore, avoir un corps de poupée Ken ! Sans sexe, tout lisse. Bref, ils commencèrent à spéculer et s’imaginer diverses choses en rigolant avant d’enfin mettre leur plan en place ! Y avait qu’un seul moyen d’entre être sûr ! Vérifier par soi-même. Et tant qu’à faire, autant faire partager la découverte à tout le monde directement. Et quel joie ce fut d’entrainer dans leur bêtise la douce et tendre Camille. Elle lui avait terriblement manqué, plus qu’il ne l’admettait, ignorant ce qu’il devait véritablement penser de tout cela.
Et ce fut ainsi que les comparses se retrouvèrent au cours d’histoire de la magie, un plan précis en tête. Etape 1, détourner l’attention du professeur, un devoir pour Camille qui demanda de l’aide. C’était le moment de jouer pour l’étape 2 ! Froissant une boule de papier, il se leva, se dirigeant simplement vers la corbeille de la classe. Il croisa le regard de l’assistante, lui adresse un grand sourire qui en disait long, du genre « oui oui » mais qui voulait surtout dire « tu rêves, je vais quand même le faire » et hop ! Quelques gouttes dans la coupe, et le voilà de retour à sa place. Un coup de coude à son frangin et c’était le moment tant attendu.
La coupe s’envola, se renversa et ensemble ils comptèrent les secondes qui séparait cet instant du moment tant attendu : la chute d’une blague.
Les vêtements disparaissaient, et ouvertement curieux, Fred se releva légèrement pour pouvoir voir ce qui l’intéressait, comme un idiot.
« Ah bah il est appareiller comme tout le monde visiblement…Je suis déçu »
Complètement inconscient et toujours dans l’euphorie de la blague, il observa rapidement les autres élèves quand le calme revint. Une étrange atmosphère, lourde, les paroles de l’assistante et un regard vers Camille eut tôt fait d’effacer l’euphorie pour la remplacer par une grande inquiétude. L’idée de laisser un autre élève se faire accuser à leur place, ce n’était pas quelque chose qui le gênait, mais là il s’agissait de Camille.
Se levant, pousser par une force invisible :
« Ce n’est pas de la faute de Camille ! C’était mon idée, je voulais vérifier si le ministère de la magie ne vous avait pas ôter certaine partie de votre anatomie pour éviter…Enfin… »
Maintenant qu’il le disait à voix haute et devant tout le monde, il se rendait compte du ridicule de la situation et de sa curiosité. Il se racla la gorge, passa une main à l’arrière de son crâne pour se gratter.
« Je me demande comment le ministère de la magie la rendu…Stérile…Tu crois qu’ils lui ont couper le… »
Bien évidemment, quand ça parlait de truc en dessous de la ceinture, difficile de tenir son sérieux ! Il éclata de rire en imaginant le professeur être castrer comme un vulgaire chien. Ou mieux encore, avoir un corps de poupée Ken ! Sans sexe, tout lisse. Bref, ils commencèrent à spéculer et s’imaginer diverses choses en rigolant avant d’enfin mettre leur plan en place ! Y avait qu’un seul moyen d’entre être sûr ! Vérifier par soi-même. Et tant qu’à faire, autant faire partager la découverte à tout le monde directement. Et quel joie ce fut d’entrainer dans leur bêtise la douce et tendre Camille. Elle lui avait terriblement manqué, plus qu’il ne l’admettait, ignorant ce qu’il devait véritablement penser de tout cela.
Et ce fut ainsi que les comparses se retrouvèrent au cours d’histoire de la magie, un plan précis en tête. Etape 1, détourner l’attention du professeur, un devoir pour Camille qui demanda de l’aide. C’était le moment de jouer pour l’étape 2 ! Froissant une boule de papier, il se leva, se dirigeant simplement vers la corbeille de la classe. Il croisa le regard de l’assistante, lui adresse un grand sourire qui en disait long, du genre « oui oui » mais qui voulait surtout dire « tu rêves, je vais quand même le faire » et hop ! Quelques gouttes dans la coupe, et le voilà de retour à sa place. Un coup de coude à son frangin et c’était le moment tant attendu.
La coupe s’envola, se renversa et ensemble ils comptèrent les secondes qui séparait cet instant du moment tant attendu : la chute d’une blague.
Les vêtements disparaissaient, et ouvertement curieux, Fred se releva légèrement pour pouvoir voir ce qui l’intéressait, comme un idiot.
« Ah bah il est appareiller comme tout le monde visiblement…Je suis déçu »
Complètement inconscient et toujours dans l’euphorie de la blague, il observa rapidement les autres élèves quand le calme revint. Une étrange atmosphère, lourde, les paroles de l’assistante et un regard vers Camille eut tôt fait d’effacer l’euphorie pour la remplacer par une grande inquiétude. L’idée de laisser un autre élève se faire accuser à leur place, ce n’était pas quelque chose qui le gênait, mais là il s’agissait de Camille.
Se levant, pousser par une force invisible :
« Ce n’est pas de la faute de Camille ! C’était mon idée, je voulais vérifier si le ministère de la magie ne vous avait pas ôter certaine partie de votre anatomie pour éviter…Enfin… »
Maintenant qu’il le disait à voix haute et devant tout le monde, il se rendait compte du ridicule de la situation et de sa curiosité. Il se racla la gorge, passa une main à l’arrière de son crâne pour se gratter.
code by Silver Lungs
- Lise Parker
- Gallions : 283
Age : 34
Mer 16 Avr - 18:14 (Δ)
Lise Parker
Semi-Lycan
Comme tous les jours, Lise partie dans la cuisine pour prendre de quoi manger avec l'aide des elfes de maison, avant de monter sur le toit prendre son petit déjeuner. Comme d'habitude, elle n'allait jamais dans la grande salle, préférant les endroits où elle était sur d'être seule. Déjà qu'elle n'aimait pas la compagnie, alors avec ce qu'il se passait actuellement, c'était pire. Amy avait beau lui parler comme si de rien était, la brune était mal à l'aise. Parce que même si son amie ne disait rien, ça ne voulait pas dire qu'elle ne ressentait rien. Et elle savait que son comportement l'avait blessé. Et puis il y avait Sirius aussi, elle aurait aimé lui présenter ses excuses pour le coup de poing qu'elle lui avait donné. Mais Lise était bien incapable de justifier son comportement. Non, décidément, elle ne se voyait pas dire « excusez moi, c'était à cause de la pleine lune, mes gênes de lycan ont fait des leurs ! » Donc voilà, les maraudeurs devaient avoir une mauvaise opinion d'elle, et elle ne pouvait pas se justicier. La jeune fille soupira, n'aimant pas quand une situation lui échappe. Irritée, elle grinça des dents. Et puis il y avait aussi James qui lui avait plus au moins forcé la main pour qu'elle lui dise ce qu'elle savait sur sa mort. Donc elle lui avait raconté ses suppositions, mais en insistant sur le fait que ce ne sont que des suppositions et que ce n'est absolument pas sur que ce soit la réalité.
Une fois son estomac rassasié, elle se dépêcha de gagner le cours d'histoire de la magie. En entrant, elle posa son regard sur Klaus, le prof, un peu mal à l'aise. Un hybride. Évidemment, tout le monde le savait. Lise avait du mal à comprendre comment il faisait pour ne pas cacher sa nature, pour ne pas avoir peur de ce qui pouvait lui arriver. C'était quelque chose qui lui échappait. Elle se crispa et secoua la tête avant de traverser la classe. Sur le chemin, elle posa son regard sur Remus, derrière Sirius et Camille. L'espace d'un instant, elle hésita à s'assoir à côté de lui puis finalement regagna sa place habituelle, au fond, derrière Amy, et non loin de Zoya Horlov.
Pour ne pas changer ses bonnes habitudes, elle sortit ses livres. De cours, mais aussi son carnet où elle notait ses observations personnelles sur chacun des élèves. Alors qu'elle notait l'état d'Amy avec un pincement au coeur, son regard fut attiré par Fred Weasley qui versa quelque chose dans le verre du professeur. Rien n'échappait à Lise Parker. Et encore moins la coupe qui s'éleva et le contenu qui se versa sur les vêtements de M. Varney.
Aussitôt les rires retentirent, et en voyant l'homme nu, Lise resta sans bouger, n'esquissant ni un sourire espiègle ou rieur, ni une moue gênée et ne fit aucun commentaire. Elle resta comme d'habitude, inexpressive, indéchiffrable, aucune émotion ne passait sur son visage.
La porte s'ouvrit pour laisser place à Griffin et Ada Bethney qui firent partager leur ressenti. La brune griffonna une nouvelle fois quelque chose sur son carnet, sans quitter le prof des yeux, prête à écrire la réaction du vampire/lycan. Elle nota bien évidemment le rougissement beaucoup trop voyant de l'assistante, et la petite Camille qui se sentait bien coupable, ou alors Remus, prêt à bondir pour prendre la défense de la petite blonde.
code by biscotte
- NPC Amy
- Gallions : 1038
Mer 16 Avr - 19:28 (Δ)
Klaus Varney
Le vif su sujet
Alors qu’il s’apprêtait à commencer son cours, quelque chose le troubla, une odeur, familière, légèrement plus sucrée. Il posa instinctivement son regard sur ce qui lui semblait être la source même de ce parfum si délicieux. La petite Loreens-Black. A l’instant même où elle lui demanda de l’aide. Il jeta un coup d’œil à son assistante aux regards fuyants. S’apprêtant à lui demander à elle de prendre le relais mais au final, il s’approcha de la petite Gryffondor. L’odeur était plus prononcé maintenant, venant titiller ses plus bas instincts. Se contrôlant pourtant, il lui donna les informations et les explications qu’elle lui avait demandées. Troublé pourtant par cette odeur, cela ne se voyait en rien extérieurement mais…Elle devait être sérieusement blessé se disait-il, pourtant, elle était là, se tenait dans cette classe sans rien montrer, elle ne semblait même pas se rendre compte qu’elle saignait. Pour qu’il le sente, cela devait être quelque chose d’assez sérieux pourtant.
Commençant son cours, il eut à peine 5 minutes de répit que sa coupe se reversa littéralement sur lui. Il n’était pas bien compliquer de comprendre que celle-ci ne s’était pas renverser toute seule, d’autant plus lorsqu’il vit ses vêtements disparaitre et qu’il se retrouva simplement nu devant une multitude d’élève…Il eut pourtant quelque seconde de non-réaction, ignorant complètement s’il était possiblement en train de faire un rêve bizarre ou si ce qui arrivait, était bel et bien réel. Pourtant, il ignorait encore comment réagir. Et c’est certainement cette intense réflexion qui fit taire les élèves, son regard se posa à nouveau sur une source d’odeur métallique et sucré. Les cheveux de la demoiselle changeaient de couleur, se trahissant dans cette stupide farce. Il fit un pas en avant mais fut retenu par le bras. Son regard se posa sur son assistante, sa bouche s’entrouvrit pour prononcer quelque parole mais la porte de la classe s’ouvrit, interrompant son geste…Et ajoutant deux autres personnes à cette humiliation. Il reposa son regard sur Camille mais avant même qu’il n’ait pu dire quoi que ce soit, une tête rousse se leva, prétextant qu’il était l’instigateur de cette farce, prit par une curiosité de savoir quel genre de mutilation grotesque le ministère avait user pour retirer une part de lui.
Il ignorait ce qui le mettait le plus en colère, le fait d’être nu et incapable de pouvoir user de magie ou le fait qu’un avorton se permette de parler aussi ouvertement d’un sujet particulièrement difficile pour l’hybride. Pourtant, le regard du professeur semblait impénétrable, celui d’un prédateur, comme à son habitude. Il s’approcha d’un meuble, attrapant le drap qui le couvrait pour cacher ses attributs. Laissant le silence faire son bonhomme de chemin, il pouvait sentir la crainte. Son regard se reposa sur Camille, cette odeur…Si forte…Ses canines réagissaient, difficile de les dissimuler.
« Miss Camille, je vous prierai de vous rendre à l’infirmerie, sans discussion ! »
Reposant son regard sur le rouquin.
« Nous nous reverrons en retenue… »
Finissant alors sur son assistante :
« Vous continuez à vous rincer l’œil ou vous allez finir par vous rendre utile ? »
Etant un vampire, il ne pouvait user de la magie.
« Bien…D’autres questions au sujet de mon anatomie ou tout le monde est satisfait ? »