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- NPC Eli
- Gallions : 996
Dim 24 Fév - 15:54 (Δ)
Fray SatchLa plus gosse fêtarde de Poudlard
Attend, on a une bande d'adolescents qui débarquent mystérieusement des années 70 et on a toujours pas fait une méga teuf ??
Fidèle à elle-même, Fray s'échauffa dans sa chambre de dortoir sous le regard amusé de ses amies. Élèves mystérieux ou pas, la jeune Poufsouffle de 6ème année aurait de toute manière bientôt trouvé une excuse pour faire la fête. Etre dans une école ne signifiait pas qu'ils étaient seulement là pour agiter leur baguette et gratter du parchemin. Ils vivaient là leur plus belles années et elle était bien décidé à en profiter.
Organiser des fêtes était devenu un art, une passion pour la plus grosse fêtarde de Poudlard. On ne dit pas que chacun de ses plans soit réussi ou parfait, mais la plupart des fêtes organisées clandestinement à Poudlard ces deux dernières années venaient de Fray Satch, ou du moins suscitait sa participation. Il fallait dire qu'il avait une chose dont profitait Fray qui assurait une fête plutôt réussi : un budget illimité.
Décorations, boissons, nourriture, musique, elle obtient cela sans que quiconque n'ai à se soucier du financement.
Depuis deux semaines déjà, sont placardées de grandes affiches lumineuses annonçant la fête prochaine, dans les cachots. Pas d'inquiétude concernant les professeurs, les affiches ont été ensorcelées pour que seuls les personnes âgées de moins de 20 ans puisse les voir.
C'est entrée libre et open bar ! Tout le monde viens sauf les vieux croûtons !
Face à une grande salle baignées de spots lumineux avec dans chaque coin des baffles énormes crachant de la musique à fort volume, des canapés confortables et des tables buffets remplies d'alcool et de nourriture, Fray Satch trépigna d'impatience et d'excitation. D'un signe de tête et un grand sourire, elle fit signe à ses amies d'ouvrir les portes derrières lesquelles les premiers arrivants attendaient.
Les doubles portes de vieux bois, insonorisées, s'ouvrirent et baigna les arrivant dans la lumière la musique et l'ambiance festive alors que plusieurs adolescents leur fit signe d'entrer, dont Fray Satch qui cria théâtralement :
It's PARTY TIME !
- AMORTENTIAZoya Horlov
- Gallions : 278
Dim 17 Mar - 18:58 (Δ)
It's PARTY TIME !
“ Ouvert à tous ”
Une soirée ? C’était difficile de dire non à une soirée. Surtout pour quelqu’un comme Zoya. Une soirée signifiait certes de voir du monde mais c’était aussi l’occasion pour pouvoir boire jusqu’à plus soif et écouter de la musique. C’était l’occasion de faire quelque connerie, en d’autre terme, de profiter tout simplement de son statut d’adolescente. Sans compter qu’ici, à cette époque, ce n’était pas comme si elle risquait une retenue, une perte de point ou encore un renvoi de l’école. Et cette idée lui donnait une sensation de toute puissance, la désinhibant encore plus qu’elle ne l’était déjà. Elle avait piqué quelques affaires, du maquillage dans un premier temps, teignant ses lèvres d’un rouge sang et cernant ses yeux de violet et de noir, elle avait enfilé un jeans extrêmement serré et d’un haut rouge recouvert de dentelle noir aux allures de corset sans en être vraiment un.
Elle avait pris pour la route pour les cachots, un coin qu’elle connaissait comme sa poche à son époque et qu’elle trouvait inchangé à cette époque-ci. Son regard se baladait au loin dans les couloirs alors que ses talons raisonnaient en échos, elle semblait chercher quelqu’un d’un coup d’œil mais il n’y avait pas de Saïd sans l’air, soit il devait être encore dans son dortoir et avait décidé de ne pas se joindre à la fête ( chose qu’elle doutait, il aimait beaucoup trop faire chier son monde pour louper une occasion pareil ) ou alors il se trouvait déjà à la soirée.
Elle bifurqua dans un premier couloir, aussitôt suivit d’un second, elle entendant au loin un petit groupe rigoler, et brièvement de la musique. Les cachots de Poudlard étaient l’endroit idéal pour ce genre de fête clandestine, ils étaient presque aussi vastes que le château en lui-même mais ils avaient surtout le loisir d’être un véritable labyrinthe. Ce n’est qu’au bout de quelque minute qu’elle découvrit enfin la porte close, insonorisé, elle poussa celle-ci, se retrouvant dans un flot de musique avec une légère vapeur d’alcool et de chips.
Il ne manquait qu’une seule chose pour parfaire le tableau alors qu’une rouquine hurlait à s’en faire exploser les poumons, elle sorti de son décolleté un paquet de cigarette ( son jeans était décidément trop moulant pour lui permettre de glisser quoi que ce soit dans les poches ). Elle calla la cigarette entre ses lèvres, sortant un briquet du paquet, elle incendia le bout, mélangeant au parfum d’alcool et de chips une odeur de tabac ! Voilà ! Maintenant l’ambiance était parfaite, non ?
Se dirigeant vers la rouquine, elle la salua brièvement, commentant alors ce début de soirée :
« Ca ne vaut pas ce qu’on était capable de faire en 76 »
Aaaah l’époque des années 70, la majorité des élèves d’ici n’arrêtait pas d’en parler comme si c’était la meilleure époque de ce siècle, peut-être avait-il raison ? Ce que Zoya en pensait ? Franchement ? Pas grand-chose, elle se faisait autant chier à cette époque ci que maintenant, c’était juste un bon prétexte pour "frimer" un peu.
Elle inhala du tabac, souffla la fumée vers le sol avant de directement abandonné le petit groupe d’élève pour se diriger vers le bar, prenant une bouteille au hasard et un gobelet. Elle avait le plus important, l’alcool et la cigarette. C’était le moment parfait pour poser ses fesses sur un canapé, ce qu’elle fit. Ouvrant la bouteille, elle prit malgré tout le temps d’en verser dans son gobelet, ne faisant guère attention à la quantité, ni même au contenu de la bouteille.
« Au moins ça, ça ne change pas… »
Commenta-t-elle pour elle-même alors qu’elle ingurgita la totalité de son verre en plusieurs longue gorgée, lorsqu’elle eut terminé, elle fut capable de dire qu’il s’agissait d’une vodka aromatisé.
Elle avait pris pour la route pour les cachots, un coin qu’elle connaissait comme sa poche à son époque et qu’elle trouvait inchangé à cette époque-ci. Son regard se baladait au loin dans les couloirs alors que ses talons raisonnaient en échos, elle semblait chercher quelqu’un d’un coup d’œil mais il n’y avait pas de Saïd sans l’air, soit il devait être encore dans son dortoir et avait décidé de ne pas se joindre à la fête ( chose qu’elle doutait, il aimait beaucoup trop faire chier son monde pour louper une occasion pareil ) ou alors il se trouvait déjà à la soirée.
Elle bifurqua dans un premier couloir, aussitôt suivit d’un second, elle entendant au loin un petit groupe rigoler, et brièvement de la musique. Les cachots de Poudlard étaient l’endroit idéal pour ce genre de fête clandestine, ils étaient presque aussi vastes que le château en lui-même mais ils avaient surtout le loisir d’être un véritable labyrinthe. Ce n’est qu’au bout de quelque minute qu’elle découvrit enfin la porte close, insonorisé, elle poussa celle-ci, se retrouvant dans un flot de musique avec une légère vapeur d’alcool et de chips.
Il ne manquait qu’une seule chose pour parfaire le tableau alors qu’une rouquine hurlait à s’en faire exploser les poumons, elle sorti de son décolleté un paquet de cigarette ( son jeans était décidément trop moulant pour lui permettre de glisser quoi que ce soit dans les poches ). Elle calla la cigarette entre ses lèvres, sortant un briquet du paquet, elle incendia le bout, mélangeant au parfum d’alcool et de chips une odeur de tabac ! Voilà ! Maintenant l’ambiance était parfaite, non ?
Se dirigeant vers la rouquine, elle la salua brièvement, commentant alors ce début de soirée :
« Ca ne vaut pas ce qu’on était capable de faire en 76 »
Aaaah l’époque des années 70, la majorité des élèves d’ici n’arrêtait pas d’en parler comme si c’était la meilleure époque de ce siècle, peut-être avait-il raison ? Ce que Zoya en pensait ? Franchement ? Pas grand-chose, elle se faisait autant chier à cette époque ci que maintenant, c’était juste un bon prétexte pour "frimer" un peu.
Elle inhala du tabac, souffla la fumée vers le sol avant de directement abandonné le petit groupe d’élève pour se diriger vers le bar, prenant une bouteille au hasard et un gobelet. Elle avait le plus important, l’alcool et la cigarette. C’était le moment parfait pour poser ses fesses sur un canapé, ce qu’elle fit. Ouvrant la bouteille, elle prit malgré tout le temps d’en verser dans son gobelet, ne faisant guère attention à la quantité, ni même au contenu de la bouteille.
« Au moins ça, ça ne change pas… »
Commenta-t-elle pour elle-même alors qu’elle ingurgita la totalité de son verre en plusieurs longue gorgée, lorsqu’elle eut terminé, elle fut capable de dire qu’il s’agissait d’une vodka aromatisé.
Codage fait par .Jenaa
- Sirius Black
- Gallions : 221
Lun 18 Mar - 11:12 (Δ)
Voilà deux semaine que les couloirs étaient décorés d'affiches lumineuses et pailletées. Ce qui attira le plus l'attention du Gryffondor était plus le fait que les professeurs passaient devant sans les voir, plutôt que l'actuel contenu des affiches. Un sortilège simple mais ingénieux utilisé pour faire la publicité d'une grosse fête clandestine juste sous le nez de l'autorité. Sirius était sûr que les Maraudeurs auraient longtemps trouvé ce stratagème s'ils avaient été du genre à organiser des grands évènements, mais il appréciait l'intelligence de l'organisateur.
Bien qu'il était du genre rebelle aimant outrepasser l'autorité, Sirius n'était vraiment un très grand fêtard. Se retrouver dans un lieu rempli de monde, avec de la musique à fond les oreilles et un buffet bon marché, était loin de son idéal d'une bonne soirée. Posé et tranquille dans les bras d'une femme ou courant dans la forêt interdite auprès de ses amis, voilà ce qu'il appréciait réellement.
Mais son orgueil de jeune homme le poussa à s'intéresser à l'évènement. Il ne pouvait se passer quelque chose d'important au château sans que le beau Sirius Black ne vienne faire fondre le coeur de ces demoiselles. Les élèves de cette époque devait le savoir.
Le fait que l'école était maintenant remplie de personne qu'il ne connaissait pas fit tout de même hésiter le Gryffondor. Devait-il s'imposer et faire sa grande entrée, ou ignorer tout ces étrangers et vivre sa vie ? James répondit de lui même à cette question car Sirius savait qu'il ne manquerait sûrement pas un peu de distraction.
C'est donc sans grande motivation que le Gryffondor prit la direction des cachots le soir de la fête. Il n'avait retenu que très vaguement l'heure et pensa simplement arriver en plein milieu. La démarche lente et nonchalante, l'élève suivit les indications et arriva devant une grosse porte d'où s'échappait le bruit étouffer d'une musique mise à plein volume. Il soupira.
Alors qu'il avait trouvé la chambre des Maraudeurs vide lorsqu'il y retourna pour déposer son sac, il pensa que ses amis s'étaient déjà rendus à l'évènement. Rapidement, il avait prit une douche et s'était vêtu d'une habituelle chemise et d'un pantalon noir. Pour Sirius Black, les artifices n'étaient pas très nécessaires.
Lorsqu'il ouvrit a porte, il fut agressé en tout ses sens par le bruit, les odeurs et les lumières et grimaça. Mais son expression ne changea pas lorsqu'il s'habitua à l'ambiance festive. James, Remus et Peter n'étaient pas encore là. D'ailleurs, il n'y avait pas encore beaucoup de monde. Quelques demoiselles dansaient joyeusement au centre, mais frustré de faire partie de ceux qui devraient attendre que que l'ambiance monte, Sirius passa à côté sans leur accorder d'intérêt.
Se dirigeant vers le bar pour s'occuper l'estomac faute de s'occuper l'esprit, il remarqua une jeune femme qu'il ne cru jamais être heureux de voir. Zoya Horlov. Il n'était au moins pas le seul idiot de 76 à être venu.
Sirius ne la connaissait que très vaguement bien qu'elle fasse partie de sa promotion car il n'avait jamais été très intéressé par son air constamment agressif. D'ordinaire, le tombeur avait tendance à être attiré par les âmes combatives et difficile à obtenir, d'autant plus que Zoya ne manquait pas d'un certain charme sauvage. Mais bizarrement, elle faisait partie de celles que le Don Juan n'avait jamais réussi à voir comme une cible potentielle. Trop... flippante ?
C'est sans vraiment réfléchir que le Gryffondor s'approcha d'elle après avoir attrapé une bouteille de Jack au buffet. Il la salua d'un sourire mais ne su pas comment initier la conversation. La sensation était si étrange pour l'éternel beau parleur qu'il se sentit obliger d’entamer immédiatement sa bouteille. Il s'éclairci la gorge, fronçant les sourcils devant sa propre incompréhension de lui-même.
- Salut. lâcha-t-il maladroitement avant de reprendre une gorgée.
Il ne savait pas ce qui le mettait si mal à l'aise chez cette jeune femme. Malgré ses courbes féminines, ses cils maquillées, ses lèvres pulpeuses, c'était comme si Sirius ne parvenait pas à se faire à l'idée qu'elle appartenait à la gente féminine dont il était si friand. Si fasciné par son incapacité à être attiré par la Serdaigle, il ne se rendit pas compte qu'il détaillait sans discrétion chaque partie de son anatomie. Belles jambes, beaux seins, joli minois... Mais alors pourquoi ?
- Soirée... intéressante. finit-il par dire après un long silence.
Il voulu se gifler de paraître si pathétiquement mal à l'aise mais s’assaillit d'une nouvelle gorgée de whisky à la place et s'éclaircit la gorge. Il s'aperçu qu'il avait fixé peu poliment son interlocutrice et détourna le regard mais ne prit pas la peine de s'excuser.
- NPC Amy
- Gallions : 1038
Lun 18 Mar - 14:17 (Δ)
Milan FisherLe mec chelou
Il avait fixé un long moment ses affiches lumineuses, la première fois qu’il les avait vu, il avait d’ailleurs eu le réflexe de se plaquer contre elle lorsqu’un professeur traversa le couloir. Ce n’est qu’en voyant le regard du professeur posé sur lui qui disait « qu’est-ce qu’il encore celui-là » qu’il comprit que ceux-ci étaient incapable de voir les affiches pourtant très tape à l’œil. Se décollant du mur, il fixa à nouveau l’affiche, un sourire un peu idiot se dessinant sur les lèvres.
*Y aura de jolies filles*
« Tu rêves éveillé là, cette soirée est pour moi »
Fronçant les sourcils, il ne se tourna même pas pour voir son alter ego s’adosser contre mur. Cette fois-ci, il n’était pas question que ça soit François qui récolte tous les bons côtés de la soirée et lui qui se tape la gueule de bois le lendemain sans aucun souvenir de nuit chaudes et endiablés. Il était d’ailleurs très surprenant que son alter ego soit capable de coucher avec certaine fille de l’école vu la réputation que Milan se trainait derrière lui. Toujours l’éternel bon copain, à croire que les filles se fichaient bien de se rendre compte que le Serpentard avait un dédoublement de la personnalité, ce qui les intéressaient c’était le côté Bad, ni plus ni moins.
Frustrée par cette constatation, le jeune homme était bien décidé à prouver que dans la vraie vie, comme dans les jeux vidéo, c’était le gentil qui se faisait la fille.
Ainsi, le soir-même, il s’était préparé. Son sens aigus de la mode l’avait amené à porter un pantalon noir avec une chemise blanche rentrée à l’intérieur et par-dessus, le summum de la définition de la classe selon Milan : un gilet marron !
Coiffer comme à son habitude, il s’était rendu donc au cachot. Les mains dans les poches, il ne manqua pas de se perdre bien évidemment. Lui qui voulait arriver avant tout le monde histoire d’éviter que tous les regards se tournent vers lui lorsqu’il entrerait dans la pièce. Bien évidemment, maintenant qu’il était paumé, c’était une toute autre histoire. Par sureté, il ouvrit chacune des portes qu’il rencontrait sur sa route, ponctuant chaque ouverture par un « Hé Ho ? » qui bien évidemment se perdit dans le silence. Jusqu’à ce qu’il finisse par poser les doigts sur la bonne porte ! Il ouvrit, ponctua son entrée d’un « Hé Ho » qui se noya dans la musique et il entra.
L’odeur du tabac le fit légèrement tousser et comme il le redoutait tant, tous les regards ou presque s’étaient poser sur sa personne. Il se frotta la nuque de sa main gauche, saluant les gens de sa main droite :
« Euh…Salut ! »
Mais ses salutations ne trouvèrent aucune réponse. Observant les élèves présents, il reconnu rapidement la belle Fray, une rousse à la joie de vivre communicative, lorsqu’il l’a voyait, il ne pouvait s’empêcher dans sa tête d’imaginer une musique des années 60 :
Plongeant dans ses pensées, il semblait ne voir plus qu’elle, son sourire et ses cheveux flottant dans le vent, s’approchant lentement de lui tout en ouvrant ses bras pour lui faire un calin.
Beaucoup trop plonger dans son imaginaire, Milan avait véritablement ouvert ses bras pour recevoir le calin dont il était en train de rêver, ce n’est que lorsqu’il avança d’un pas, bras ouvert, et le heurtant au vide qu’il se rendit compte qu’il avait tout simplement l’air stupide.
Se détournant, histoire de cacher sa gêne et de faire comme si de rien était, il s’en alla du côté des bols de chips, plongeant sa main dedans et noyant sa gêne dans la gourmandise.