- NPC Lise
- Gallions : 268
Lun 17 Fév - 19:53 (Δ)
Katia Harper
Situation Compromettante
Il était allongé sur elle, une main derrière son dos, la forçant à se cambrer. L'autre main parcourait son corps nu, découvrant chaque détail, insistant sur chaque zone sensible qu'il trouvait. Des petits gémissements plaintifs s'échappaient de la bouche entrouverte de la rouquine aux yeux clos et aux joues rougit par la gêne mais aussi par un plaisir évident, alors que les lèvres de Klaus dévorait son cou avec passion et hardeur. Ses mains remontaient sur sa poitrine qu'il massait d'une manière experte pour lui faire découvrir diverses sensations. Ses baisers descendaient sur son ventre, alors que ses mains prenaient le même chemin pour caresser ses hanches et soulever doucement ses jambes. Au moment où il allait la faire sienne …. Katia se réveilla brusquement, mettant un terme à ce fantasme.
La jeune femme se retrouva donc assise sur son lit après s'être violemment redressée, le visage en nage, les cheveux humides, la respiration saccadée. Quel rêve …. et quel réalisme dans ce rêve. Elle avait l'impression que c'était la réalité, à un point où elle n'aurait pas été surprise de voir l'hybride devant elle, bien qu'elle en aurait été profondément choquée. Katia respirait toujours avec difficulté comme si elle avait effectuée un marathon. Elle remonta le drap contre elle avant de poser sa main sur son front fiévreux. D'ailleurs, tout son corps était brulant. Elle ressentait une sensation très étrange, le ventre contracté qui dirait quelque chose, une personne. Non, non, non, non. Même lorsqu'elle faisait l'amour avec Jason, elle n'était pas autant bouleversée et dans cet état second. Oh seigneur, que ce passe-t-il ? Katia était complètement perdue. Ce n'était pas la première fois qu'elle faisait ce genre de rêve, mettant en scène son référant. Pourtant, elle ne s'était pas retrouvée seule à seule avec lui depuis leur première rencontre, et entre temps, ils avaient données plusieurs mois de cours. Katia était d'ailleurs une assistante très appréciée des élèves, sans doute parce qu'elle prenait souvent leur défense et qu'elle leur portait beaucoup d'attention. S'investissant bien au dela du travail avec eux, elle leur donnait quelques conseils pour la vie de tous les jours. Parfois, elle était même invitée à boire un verre à Pré-au-Lard par les élèves de 7ème année. En particulier par le petit trio composé des Jumeaux Weasley et de Camille Loreens. Sans doute une manière de la remercier parce qu'elle couvrait leurs bêtises. Quant aux Maraudeurs c'était plus difficile de leur venir en aide, les bêtises qu'ils faisaient prenaient parfois des proportions un peu grande, mais elle faisait ce qu'elle pouvait. Quoi qu'en ce moment, ils étaient un peu trop calme. Puis il y avait également Amy Loreens … Et son décès. Si tous les élèves passaient leurs journées à lui murmurer des condoléances et lui témoigner leurs affections, Katia préférait bavarder avec elle de tout et de rien, quoi que beaucoup sur la technologie moldu, tout ça pour la distraire et qu'elle cesse de penser à cet avenir, qui de toute façon n'était pas tracé. Elle n'était pas sur de lui venir réellement en aide, mais elle espérait ainsi lui changer au moins un tout petit peu les idées. Donc voilà, globalement, une très bonne relation avec ses élèves, douce, gentille, attentionnée, tolérante, elle était un peu la copine de tout le monde. Quant à sa relation avec Klaus ? Elle ne saurait le dire …. Elle essayait en fait de ne pas y penser, torturer depuis plusieurs mois par ce geste déplacé qu'elle avait eu envers lui … L'image d'elle même à quatre pattes sur son bureau lui revient à l'esprit … Elle secoua la tête pour chasser cette image. Et dire que depuis, elle faisait de nombreux rêves érotiques, les mettant tous les deux en scène, mêlant leurs corps et leurs sangs. Le sang de Klaus … Katia se mordit les lèvres sans même s'en apercevoir. Voilà, Klaus elle essayait de l'éviter au maximum, d'ailleurs, elle ne soutenait jamais son regard, de peur de rester plonger dans ses prunelles envoutantes. Et dès qu'elle sentait d'ailleurs son regard sur elle, elle rougissait comme jamais. Un comportement qu'elle n'expliquait pas.
« …. Oh Seigneur ….. J'ai besoin d'une bonne douche ! »
Frustrée par ces rêves à répétition, Katia se redressa et chercha dans son placard une longue chemise blanche immaculée, qui appartenait à Jason. Elle la renifla et se concentra sur le parfum de son homme … qui n'était plus présent sur cette chemine. Zut ! Oh et puis tant pis, c'est quand même la chemise de Jason, voilà qui fera l'affaire pour qu'elle pense à autre chose. Elle prit une petite culotte blanche à dentelles et quitta la chambre pour marcher à pas de loup dans les couloirs du château jusqu'à la salle de bains des préfets. N'était qu'assistante, elle n'avait pas de douche privée, mais elle pouvait néanmoins avoir le même privilège que les préfets. Elle verrait sans doute cela avec le professeur McGonagall, sans lui expliquer qu'elle préférait éviter de parcourir tout le château pour aller dans la salle de bain quand elle rêve de Klaus.
Katia se dévêtit et prit une douche bien froide qui rafraichit doucement son corps encore brulant il y a quelques minutes en arrière. Les cheveux trempés, elle sortie de la douche pour mettre sa culotte et enfila sa chemise sans même se sécher, afin de sentir encore la fraicheur de l'eau sur son corps -sait-on jamais-. Au lieu de retourner dans sa chambre, c'est dans une tenue peu appropié qu'elle se rendit dans la cuisine. En même temps à 3h du matin, il n'y avait pas un chat, même les elfes de maison dormaient. Katia s'assit sur une chaise, pied nu, en culotte/chemise mouillée qui dessinait d'ailleurs ses formes. Elle grignotait une banane, en regardant dans le vague, ses pensées partis très loin …. C'est la porte qui s'ouvrit qui la ramena à la réalité. Et là …. Ce fut le cauchemar devenu réel.
Katia se figea, banane à la bouche, chemise peu appropriée et aussi mouillée que son corps et ses cheveux, jambes nues, sur sa chaise, croisant le regard de Klaus. Oh.Mon.Dieu. C'est une blague ? Non, non non … C'est encore son imagination qui lui joue des tours. En fait, elle rêve toujours c'est ça ? La rousse lâcha sa banane qui tomba sur la table, et ferma les yeux en se pinçant le bras. Aïe ! Est-ce que ça voulait dire qu'elle ne rêvait pas ? Katia rouvrit brusquement les yeux, et oui, Klaus était toujours présent, en chair et en os, devant elle. La jeune sorcière rougit brusquement, son teint devenant identique à celui de ses cheveux, voir même bien plus rouge. Elle se redressa brusquement, tirant comme elle pouvait sur sa chemise pour cacher ses cuisses, mais elle se rendit compte qu'elle ne faisait que plaquer la chemise mouillée sur son corps, ce qui n'était guère mieux. Son rougissement s'accentua à un point inimaginable et elle croisa les bras sur sa poitrine, figée sur place.
Seigneur, à cet instant, elle aurait voulu mourir ! Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?!!!!
« K..... Klaus ….... qu'est-ce que ….. qu'est-ce que vous faites ….. là ? ….... »
Vu les circonstances, c'était plutôt à lui de poser la question, mais passons. Horriblement mal à l'aise, Katia ne savait plus où se mettre, ni quoi faire.
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- NPC Amy
- Gallions : 1038
Sam 22 Fév - 13:36 (Δ)
Klaus Varney
Situation Compromettante
Les jours passaient, s’imprégnant de son rôle de tuteur, ses cours n’avaient rien d’orthodoxe. Si la direction de l’école interdisait la divulgation du futur aux élèves du passés, Klaus profitait allègrement de leur présence à leur époque pour parler d’histoire. C’était une aubaine d’avoir des témoins directe de ce qu’ils avaient vécu. Il n’était pas difficile de faire le parallèle avec la situation actuelle, son statut d’hybride et d’immortel lui permettait aussi d’y mettre une touche personnelle sur ce que lui-même vivait ou voyait à l’extérieur du château. Cette première guerre, les débuts, les prémisses, la peur montant, il avait alors réussi à avoir un certain contact avec ses élèves, certains aimaient venir à son cours pour son intensité, d’autre se sentait excessivement mal à l’aise mais une forme de curiosité malsaine les poussait à venir. Il n’était pas sans avoir remarqué l’absence de certain de la promotion 1971, Amy Loreens par exemple, cette demoiselle en plus de faire face à sa propre mortalité ne semblait pas très encline à parler et entendre parler de ce qu’ils craignaient tant à leur époque et de ce qui les attendait à leur retour au final. Les semaines défilèrent mais par-delà une certaine satisfaction acquise aux travers de l’enseignement, il prenait surtout beaucoup plus son pied à observer les petits détails, les changements, comme le regard fuyant de son assistante. Il remarque le jour exact où les rêves ont commencé à sa façon de le fuir tout simplement, se tenant toujours à l’exact opposé où il se trouvait dans la classe. La teinte carmine de ses joues lorsqu’il posait un regard sur elle. Il esquissa parfois un sourire à l’observer, attendant le moment où elle se douterait de quelque chose. Mais le temps défila, et elle ne semblait pas encore faire le lien, peut-être qu’au fond cette petite coquine aimait ce qu’elle voyait dans ses rêves.
La nuit était pleinement entamer, marchand dans les couloirs du château, le fait qu’il ne dorme pas lui permettait d’augmenter légèrement la sécurité du château, faisant ses rondes avec les autres préfets et le concierge. Son instinct d’hybride lui permettait de repérer très rapidement les élèves mais au final, à part un ou deux qu’il attrapait pour la forme, il laissait une majorité des bêtises se faire, faisant simplement comme si il n’avait rien vu ou entendu. Mais ce soir, ce fut un parfum familier qui troubla sa marche nocturne, suivant les traces de celui-ci, il traversa une partie du château pour se retrouver face à un tableau, n’ayant jamais été élèves à Poudlard, Klaus ignorait une bonne partie des passages secrets de ces lieux mais il n’en doutait pas, derrière ce tableau se cachait quelque chose d’infiniment intéressant.
« Vous…Avez faim professeur Varney ? »
Il se retourna, se retrouvant face à une jeune fille de dix-sept an qui l’observait, le regard brillant, le teint légèrement rosie. Il n’était pas surprenant de voir des jeunes adolescentes s’émoustiller à l’idée de faire face à une espèce comme Klaus mais ce n’était pas le genre de distraction qui l’intéressait mais il descella un bon moyen de trouver ce qu’il cherchait
« Faim…Pourquoi ? »
Il s’avança d’un pas, elle recula d’un demi-pas en relevant la tête pour ne pas quitter son professeur des yeux, elle désigna d’un doigt le tableau, fébrilement.
« C’est l’entrée des cuisines, je…Je pensais que… »
Ses yeux se posèrent sur le tableau, la jolie corbeille de fruit, l’entrée des cuisines…Il esquissa un sourire.
« Se nourrir de sang n’enlève pas le gout pour la bonne nourriture »
Elle dégluti légèrement face à la franchise avec laquelle il pouvait parler de sa situation. Il avait l’intime conviction qu’il n’aurait pas à insister bien longtemps pour qu’elle lui tende sa nuque. Il aurait pu s’amuser de cette situation s’il ne la trouvait pas si pitoyable mais ne montrant rien de son total désintérêt pour la poche de sang ambulante que représentait cette étudiante, il écouta simplement ces mots.
« Il faut gratter la poire… »
Gratter la poire ? La phrase, sortie de son contexte, était totalement dénué de logique. Pourtant, il se tourna vers le tableau, observant la corbeille de fruit, il repéra le fameux fruit à chatouiller. Mais il y avait encore derrière lui un témoin gênant. Aussi, sa voix claqua, froide :
« Vous devriez faire votre ronde »
Elle hoqueta, légèrement surprise, peut-être s’attendait-elle à une toute autre fin. Et lorsqu’il se trouva à nouveau seul, il chatouille la petite poire de son index, le tableau coulissa sur le côté, le permettant alors d’entrer dans les cuisines. Le tableau se referma derrière lui, attirant alors l’attention de la personne déjà présente sur les lieux. Il la regarda, là, installer sur son tabouret, banane à la main, chemise mouillé, transparente et collante, ne laissait pas de place à l’imagination, petite culotte en dentelle, cheveux encore dégoulinant, son regard fixa cette scène. En appréciant sa beauté au-delà de son facteur hautement érotique. La gêne dans ses yeux, le pincement pour tester si tout cela était réel ou non, le battement de son cœur, il aurait pu se moquer d’elle, se moquer de cette situation mais c’est une toute autre envie qui l’anima en cet instant. Il s’avança, d’un pas assuré, s’approchant inexorablement d’elle alors qu’elle lui demandait ce qu’il faisait ici. Sa main passa rapidement de la joue de l’assistante à sa nuque, l’attirant ainsi à lui, plaquant ses lèvres contre les siennes. Un baiser, intense, mêlant sa langue à la sienne, il profitait clairement de son état de confusion, avec l’espoir un peu fou qu’elle se dirait que tout cela n’était qu’un autre rêve. Profitant de la situation tout simplement. Sa main libre venant se placer sous son fessier pour la soulever et la poser sur la table de travail de la cuisine, à cette hauteur elle était légèrement plus grande que lui mais excessivement bien placé pour qu’il puisse pleinement profiter de la chaleur de ses cuisses contre ses hanches.
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