Situation Compromettante [PV Klaus]
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okMJ

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NPC Lise
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Katia Harper

Situation Compromettante


Il était allongé sur elle, une main derrière son dos, la forçant à se cambrer. L'autre main parcourait son corps nu, découvrant chaque détail, insistant sur chaque zone sensible qu'il trouvait. Des petits gémissements plaintifs s'échappaient de la bouche entrouverte de la rouquine aux yeux clos et aux joues rougit par la gêne mais aussi par un plaisir évident, alors que les lèvres de Klaus dévorait son cou avec passion et hardeur. Ses mains remontaient sur sa poitrine qu'il massait d'une manière experte pour lui faire découvrir diverses sensations. Ses baisers descendaient sur son ventre, alors que ses mains prenaient le même chemin pour caresser ses hanches et soulever doucement ses jambes. Au moment où il allait la faire sienne …. Katia se réveilla brusquement, mettant un terme à ce fantasme.

La jeune femme se retrouva donc assise sur son lit après s'être violemment redressée, le visage en nage, les cheveux humides, la respiration saccadée. Quel rêve …. et quel réalisme dans ce rêve. Elle avait l'impression que c'était la réalité, à un point où elle n'aurait pas été surprise de voir l'hybride devant elle, bien qu'elle en aurait été profondément choquée. Katia respirait toujours avec difficulté comme si elle avait effectuée un marathon. Elle remonta le drap contre elle avant de poser sa main sur son front fiévreux. D'ailleurs, tout son corps était brulant. Elle ressentait une sensation très étrange, le ventre contracté qui dirait quelque chose, une personne. Non, non, non, non. Même lorsqu'elle faisait l'amour avec Jason, elle n'était pas autant bouleversée et dans cet état second. Oh seigneur, que ce passe-t-il ? Katia était complètement perdue. Ce n'était pas la première fois qu'elle faisait ce genre de rêve, mettant en scène son référant. Pourtant, elle ne s'était pas retrouvée seule à seule avec lui depuis leur première rencontre, et entre temps, ils avaient données plusieurs mois de cours. Katia était d'ailleurs une assistante très appréciée des élèves, sans doute parce qu'elle prenait souvent leur défense et qu'elle leur portait beaucoup d'attention. S'investissant bien au dela du travail avec eux, elle leur donnait quelques conseils pour la vie de tous les jours. Parfois, elle était même invitée à boire un verre à Pré-au-Lard par les élèves de 7ème année. En particulier par le petit trio composé des Jumeaux Weasley et de Camille Loreens. Sans doute une manière de la remercier parce qu'elle couvrait leurs bêtises. Quant aux Maraudeurs c'était plus difficile de leur venir en aide, les bêtises qu'ils faisaient prenaient parfois des proportions un peu grande, mais elle faisait ce qu'elle pouvait. Quoi qu'en ce moment, ils étaient un peu trop calme. Puis il y avait également Amy Loreens … Et son décès. Si tous les élèves passaient leurs journées à lui murmurer des condoléances et lui témoigner leurs affections, Katia préférait bavarder avec elle de tout et de rien, quoi que beaucoup sur la technologie moldu, tout ça pour la distraire et qu'elle cesse de penser à cet avenir, qui de toute façon n'était pas tracé. Elle n'était pas sur de lui venir réellement en aide, mais elle espérait ainsi lui changer au moins un tout petit peu les idées. Donc voilà, globalement, une très bonne relation avec ses élèves, douce, gentille, attentionnée, tolérante, elle était un peu la copine de tout le monde. Quant à sa relation avec Klaus ? Elle ne saurait le dire …. Elle essayait en fait de ne pas y penser, torturer depuis plusieurs mois par ce geste déplacé qu'elle avait eu envers lui … L'image d'elle même à quatre pattes sur son bureau lui revient à l'esprit … Elle secoua la tête pour chasser cette image. Et dire que depuis, elle faisait de nombreux rêves érotiques, les mettant tous les deux en scène, mêlant leurs corps et leurs sangs. Le sang de Klaus … Katia se mordit les lèvres sans même s'en apercevoir. Voilà, Klaus elle essayait de l'éviter au maximum, d'ailleurs, elle ne soutenait jamais son regard, de peur de rester plonger dans ses prunelles envoutantes. Et dès qu'elle sentait d'ailleurs son regard sur elle, elle rougissait comme jamais. Un comportement qu'elle n'expliquait pas.

« …. Oh Seigneur ….. J'ai besoin d'une bonne douche ! »

Frustrée par ces rêves à répétition, Katia se redressa et chercha dans son placard une longue chemise blanche immaculée, qui appartenait à Jason. Elle la renifla et se concentra sur le parfum de son homme … qui n'était plus présent sur cette chemine. Zut ! Oh et puis tant pis, c'est quand même la chemise de Jason, voilà qui fera l'affaire pour qu'elle pense à autre chose. Elle prit une petite culotte blanche à dentelles et quitta la chambre pour marcher à pas de loup dans les couloirs du château jusqu'à la salle de bains des préfets. N'était qu'assistante, elle n'avait pas de douche privée, mais elle pouvait néanmoins avoir le même privilège que les préfets. Elle verrait sans doute cela avec le professeur McGonagall, sans lui expliquer qu'elle préférait éviter de parcourir tout le château pour aller dans la salle de bain quand elle rêve de Klaus.

Katia se dévêtit et prit une douche bien froide qui rafraichit doucement son corps encore brulant il y a quelques minutes en arrière. Les cheveux trempés, elle sortie de la douche pour mettre sa culotte et enfila sa chemise sans même se sécher, afin de sentir encore la fraicheur de l'eau sur son corps -sait-on jamais-. Au lieu de retourner dans sa chambre, c'est dans une tenue peu appropié qu'elle se rendit dans la cuisine. En même temps à 3h du matin, il n'y avait pas un chat, même les elfes de maison dormaient. Katia s'assit sur une chaise, pied nu, en culotte/chemise mouillée qui dessinait d'ailleurs ses formes. Elle grignotait une banane, en regardant dans le vague, ses pensées partis très loin …. C'est la porte qui s'ouvrit qui la ramena à la réalité. Et là …. Ce fut le cauchemar devenu réel.

Katia se figea, banane à la bouche, chemise peu appropriée et aussi mouillée que son corps et ses cheveux, jambes nues, sur sa chaise, croisant le regard de Klaus. Oh.Mon.Dieu. C'est une blague ? Non, non non … C'est encore son imagination qui lui joue des tours. En fait, elle rêve toujours c'est ça ? La rousse lâcha sa banane qui tomba sur la table, et ferma les yeux en se pinçant le bras. Aïe ! Est-ce que ça voulait dire qu'elle ne rêvait pas ? Katia rouvrit brusquement les yeux, et oui, Klaus était toujours présent, en chair et en os, devant elle. La jeune sorcière rougit brusquement, son teint devenant identique à celui de ses cheveux, voir même bien plus rouge. Elle se redressa brusquement, tirant comme elle pouvait sur sa chemise pour cacher ses cuisses, mais elle se rendit compte qu'elle ne faisait que plaquer la chemise mouillée sur son corps, ce qui n'était guère mieux. Son rougissement s'accentua à un point inimaginable et elle croisa les bras sur sa poitrine, figée sur place.

Seigneur, à cet instant, elle aurait voulu mourir ! Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?!!!!

« K..... Klaus ….... qu'est-ce que ….. qu'est-ce que vous faites ….. là ? ….... »

Vu les circonstances, c'était plutôt à lui de poser la question, mais passons. Horriblement mal à l'aise, Katia ne savait plus où se mettre, ni quoi faire.


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okMJ

NPC Amy
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Klaus Varney

Situation Compromettante



Les jours passaient, s’imprégnant de son rôle de tuteur, ses cours n’avaient rien d’orthodoxe. Si la direction de l’école interdisait la divulgation du futur aux élèves du passés, Klaus profitait allègrement de leur présence à leur époque pour parler d’histoire. C’était une aubaine d’avoir des témoins directe de ce qu’ils avaient vécu. Il n’était pas difficile de faire le parallèle avec la situation actuelle, son statut d’hybride et d’immortel lui permettait aussi d’y mettre une touche personnelle sur ce que lui-même vivait ou voyait à l’extérieur du château. Cette première guerre, les débuts, les prémisses, la peur montant, il avait alors réussi à avoir un certain contact avec ses élèves, certains aimaient venir à son cours pour son intensité, d’autre se sentait excessivement mal à l’aise mais une forme de curiosité malsaine les poussait à venir. Il n’était pas sans avoir remarqué l’absence de certain de la promotion 1971, Amy Loreens par exemple, cette demoiselle en plus de faire face à sa propre mortalité ne semblait pas très encline à parler et entendre parler de ce qu’ils craignaient tant à leur époque et de ce qui les attendait à leur retour au final. Les semaines défilèrent mais par-delà une certaine satisfaction acquise aux travers de l’enseignement, il prenait surtout beaucoup plus son pied à observer les petits détails, les changements, comme le regard fuyant de son assistante. Il remarque le jour exact où les rêves ont commencé à sa façon de le fuir tout simplement, se tenant toujours à l’exact opposé où il se trouvait dans la classe. La teinte carmine de ses joues lorsqu’il posait un regard sur elle. Il esquissa parfois un sourire à l’observer, attendant le moment où elle se douterait de quelque chose. Mais le temps défila, et elle ne semblait pas encore faire le lien, peut-être qu’au fond cette petite coquine aimait ce qu’elle voyait dans ses rêves.

La nuit était pleinement entamer, marchand dans les couloirs du château, le fait qu’il ne dorme pas lui permettait d’augmenter légèrement la sécurité du château, faisant ses rondes avec les autres préfets et le concierge. Son instinct d’hybride lui permettait de repérer très rapidement les élèves mais au final, à part un ou deux qu’il attrapait pour la forme, il laissait une majorité des bêtises se faire, faisant simplement comme si il n’avait rien vu ou entendu. Mais ce soir, ce fut un parfum familier qui troubla sa marche nocturne, suivant les traces de celui-ci, il traversa une partie du château pour se retrouver face à un tableau, n’ayant jamais été élèves à Poudlard, Klaus ignorait une bonne partie des passages secrets de ces lieux mais il n’en doutait pas, derrière ce tableau se cachait quelque chose d’infiniment intéressant.


« Vous…Avez faim professeur Varney ? »

Il se retourna, se retrouvant face à une jeune fille de dix-sept an qui l’observait, le regard brillant, le teint légèrement rosie. Il n’était pas surprenant de voir des jeunes adolescentes s’émoustiller à l’idée de faire face à une espèce comme Klaus mais ce n’était pas le genre de distraction qui l’intéressait mais il descella un bon moyen de trouver ce qu’il cherchait


« Faim…Pourquoi ? »

Il s’avança d’un pas, elle recula d’un demi-pas en relevant la tête pour ne pas quitter son professeur des yeux, elle désigna d’un doigt le tableau, fébrilement.


« C’est l’entrée des cuisines, je…Je pensais que… »

Ses yeux se posèrent sur le tableau, la jolie corbeille de fruit, l’entrée des cuisines…Il esquissa un sourire.


« Se nourrir de sang n’enlève pas le gout pour la bonne nourriture »

Elle dégluti légèrement face à la franchise avec laquelle il pouvait parler de sa situation. Il avait l’intime conviction qu’il n’aurait pas à insister bien longtemps pour qu’elle lui tende sa nuque. Il aurait pu s’amuser de cette situation s’il ne la trouvait pas si pitoyable mais ne montrant rien de son total désintérêt pour la poche de sang ambulante que représentait cette étudiante, il écouta simplement ces mots.


« Il faut gratter la poire… »

Gratter la poire ? La phrase, sortie de son contexte, était totalement dénué de logique. Pourtant, il se tourna vers le tableau, observant la corbeille de fruit, il repéra le fameux fruit à chatouiller. Mais il y avait encore derrière lui un témoin gênant. Aussi, sa voix claqua, froide :


« Vous devriez faire votre ronde »

Elle hoqueta, légèrement surprise, peut-être s’attendait-elle à une toute autre fin. Et lorsqu’il se trouva à nouveau seul, il chatouille la petite poire de son index, le tableau coulissa sur le côté, le permettant alors d’entrer dans les cuisines. Le tableau se referma derrière lui, attirant alors l’attention de la personne déjà présente sur les lieux. Il la regarda, là, installer sur son tabouret, banane à la main, chemise mouillé, transparente et collante, ne laissait pas de place à l’imagination, petite culotte en dentelle, cheveux encore dégoulinant, son regard fixa cette scène. En appréciant sa beauté au-delà de son facteur hautement érotique. La gêne dans ses yeux, le pincement pour tester si tout cela était réel ou non, le battement de son cœur, il aurait pu se moquer d’elle, se moquer de cette situation mais c’est une toute autre envie qui l’anima en cet instant. Il s’avança, d’un pas assuré, s’approchant inexorablement d’elle alors qu’elle lui demandait ce qu’il faisait ici. Sa main passa rapidement de la joue de l’assistante à sa nuque, l’attirant ainsi à lui, plaquant ses lèvres contre les siennes. Un baiser, intense, mêlant sa langue à la sienne, il profitait clairement de son état de confusion, avec l’espoir un peu fou qu’elle se dirait que tout cela n’était qu’un autre rêve. Profitant de la situation tout simplement. Sa main libre venant se placer sous son fessier pour la soulever et la poser sur la table de travail de la cuisine, à cette hauteur elle était légèrement plus grande que lui mais excessivement bien placé pour qu’il puisse pleinement profiter de la chaleur de ses cuisses contre ses hanches.




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okMJ

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NPC Lise
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Katia Harper

Situation Compromettante


Il n'avait rien dit, pas même un mot. Katia était très gênée par ce regard qu'elle sentait vagabondé sur son corps beaucoup trop voyant à son goût. Mais avant qu'elle ne pu ajouter quoi que ce soit, le vampire fit quelques pas dans sa direction pour combler l'écart qu'il y avait entre eux. La rouquine ouvrit la bouche pour protester contre cette proximité beaucoup trop intime, mais il l'empêcha de s'opposer à lui en liant leurs lèvres par un baiser. Oh non, pas un chaste baiser, mais plutôt un acte torride et fougueux qui vous fait perdre pieds. Katia émit un gémissement contre sa bouche, ses mains et bras crispés à leur paroxysme, mais pourtant, elle ne pouvait que se laisser emporter dans cette folie, dans cette ambiance érotique qui lui faisait perdre la tête. A cet instant, la jeune femme n'avait plus notion de rien. Non, elle ne pensait pas qu'elle était en train de tromper son mari. Jason était parti tellement loin de ses pensées, il ne restait plus que Klaus, son fantasme quotidien, et pour elle, tout ceci n'était d'ailleurs qu'un de ses rêves, après tout, elle ressentait les mêmes sensations. Son coeur battait de plus en plus vite, alors que son corps lui était en feu, fiévreux, animé d'un désire hardant. Elle recherchait la sensation de ses lèvres contre les siennes, de cette langue qui jouait avec la sienne.

Aussi lorsqu'il la lâcha, elle gémit doucement de frustration, son regard émeraude interrogateur. Mais c'était reculer pour mieux revenir. Klaus la souleva, en posant ses mains sur des parties trop intimes de son corps qui la fit se cambrer, se crispant d'avantage. Assise sur la table, il reprit ses baisers. Katia émit un petit grognement en mordillant les lèvres inférieur du vampire, elle finit par se laisser tomber allonger sur la table, tout son corps contracté. Ses cheveux et ses vêtements mouillaient le meuble, et Klaus avait une vue peut-être trop irréelle pour la jeune femme. Et pourtant, elle ne pouvait lutter contre ce rêve. Malgré son corps en feu, elle ressentait un grand froid autour d'elle. La rousse fut parcouru d'un frisson et enfin accepta de décontracté ses muscles. Sa main se figea contre la table, et elle reprit sa respiration, sa poitrine se soulevant au même rythme que son souffle. Elle ferma les yeux, la bouche entrouverte pour se reprendre, mais rien à faire, ce manque était toujours présent.

Alors finalement, elle céda à la tentation, se livrant corps et âme au vampire. Ouvrant doucement les paupières, ses doigts glissèrent sur son col pour ensuite l'attirer à elle sur la table. D'elle même, elle s'empara de nouveau des lèvres de Klaus, nouant ses jambes autour de sa taille pour garder le contact du corps de l'hybride contre le sien, alors que ses mains vagabondaient sur son dos, sous son t-shirt.

Et soudainement, la magie prit fin. Katia sembla brusquement revenir à la réalité. Tout ceci n'était pas un rêve, Klaus était vraiment là. Non non non, elle ne pouvait pas le désirer, c'était impossible. Jason ! Elle était mariée ! Katia, qu'est-ce que tu fais ? La rousse sentit son coeur s'emballer par la peur, la gêne et le remord. Luttant contre ses sentiments qui grimpaient en elle, elle repoussa le vampire avec une force qui la surprit elle même. La jeune assistance se redressa sur la table, n'enlevant ainsi rien de cette beauté aguicheuse, et plaqua sa main sur sa bouche.

« Ce … Ce n'est pas un rêve ….. Je …. Je ne peux pas … Je ne le désire pas …. »

Oh que si, tout son corps entier le désirait, tout comme son coeur et son âme. Mais pourtant sa raison était plus forte. Sa raison qui avait toujours fait d'elle une fille sage, parfois même un peu agaçante. Cette fille trop parfaite, qui entrait dans les normes imposées …. Cette fille a qui ont avait envie de montrer et de lui prouver qu'elle aussi, elle pouvait être impure.

Et pourtant … Katia resserra doucement les jambes, son regard perdu et en panique ne quittait pas Klaus, de la même manière que le désire n'avait pas quitté son corps.


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NPC Amy
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Klaus Varney

Situation Compromettante


Elle se laissait doucement aller sous les mains de l’hybride. Klaus pouvait sentir son corps se contracter sous ses lèvres, sentir le sang glisser dans ses veines, sous ses doigts, les sensations étaient intense, toujours plus intenses. La majorité des gens pensent que les vampires sont destiner à devenir aussi froid que leur corps, mais il est tout autre, chaque sensation n’en est que plus intense. Se prenant à son propre jeu, il laissa sa bouche glisser sur ses lèvres, son menton, sa nuque. La posant sur la table, leur ballet de langue reprenait là où il s’était arrêter, alors qu’elle laissait son corps s’allonger un peu plus contre ses tables. Il la regarda, ainsi couché, à la fois provocatrice et complètement perdue, incapable de comprendre ce qui se passait mais incapable de s’en détacher. Une beauté fragile, intense, ses cheveux mouillés autour de son visage lui donnait l’air d’un ange. Ses mains venaient le chercher et il ne se laissa pas prier pour la rejoindre, au-dessus d’elle, il pouvait sentir son parfum, l’odeur du savon dans ses cheveux, et celle de sa peau. Il laissa son nez se balader dans les creux de sa nuque, s’imprégnant de ses effluves pour ne jamais avoir à les oublier. Leurs lèvres s’unissaient une nouvelle, répondant à son invitation. Elle en avait envie et il aurait pu en rire s’il lui-même n’en avait pas eu autant envie à son tour. Quelque chose chez elle l’attirait, le fait qu’elle se montre si forte et qui pourtant se trouvait être prisonnière de tant de chose. S’emportant à son tour, un long frisson semblait le parcourir en sentant ses jambes l’entourer, ainsi contre elle, ses mains se baladèrent sous la chemise mouiller, de quelque chose habile il avait commencé à défaire les boutons du bas, un…Puis deux…Puis trois. Mais alors que seul son nombril se trouvait découvert, elle le repoussa, violemment.

Obliger de s’éloigner d’elle, il se retrouva seul avec sa frustration, il aurait pu avoir honte d’avoir ainsi profiter d’une situation qu’il avait lui-même provoquer sans prévenir la protagoniste. Enfin, ce n’était pas comme s’il l’avait obligé à boire de son sang, c’était elle qui s’était jeté sur lui pour le mordre à sang et en boire une gorgée. Mais une colère muette monta en lui, se rendant compte à quel point il désirait que ce petit jeu continue, qu’il puisse se délecter de ses formes, de la chaleur de son corps contre le sien, qu’il puisse la faire sienne tout simplement. Se bruler soi-même, s’était une chose qu’il ne pouvait sciemment supporter. Il la regarda, tentant de trouver un peu de dignité derrière sa petite tenue et ce qu’elle s’apprêtait à faire, se rendant compte que tout ceci n’était pas un rêve qu’elle ne pouvait pas et surtout, qu’elle ne le désirait pas. Ce simple mot eut le don de mettre un peu plus en colère l’hybride qui laissa sa rage s’exprimer en renversant une table qui se trouvait non loin de lui, la vaisselle qui se trouva dessus fini sur le sol, certain se brisant en éclat.


« Vous me faites rire… »

Il esquissa un sourire, baissant légèrement la tête, il la secoua un peu comme on le ferait devant un cas flagrant de stupidité.

« Vous qui avez une vie, une seule, vous qui savez à quel point cette vie est éphémère et pourtant, vous vous entêtez à suivre qu’une seule route, un seul chemin, au nom de quoi ? Parce que c’est celui que vous avez décidé de suivre, celui dans lequel vous avez décidez de vous oublier vous. Vous vous mentez et vous mentez aux autres, vous continuer sur cette route parce que c’est là que tout le monde veut vous voir, parce que c’est là que vous êtes censé être quand on est une bonne personne…Sans vous en rendre compte, vous finissez au bout du chemin et vous vous dites…J’aurais peut-être du tourner à droite… »

Relevant la tête, il s’éloigna d’elle pour se diriger vers le fond de la cuisine, il ne fut pas surprise de voir quelque bouteille de vin ou de whisky, l’alcool avait au moins la vertu d’atténuer sa propre soif. Il ouvrit une bouteille, s’en servit un verre, fit tourner le liquide ambré en l’observant avant d’en boire une gorgée.

« Et si ça avait été un rêve Katia ? »



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okMJ

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NPC Lise
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Katia Harper

Situation Compromettante


Son refus avait attiré la colère de l'homme qui était la source de ses rêves. Toujours assise sur la table, mal à l'aise, les genoux repliés contre elle même, elle le regardait avec appréhension, observant le moindre de ses gestes, ce qui ne l'empêchait pas de sursauter brusquement lorsque la table à côté s'écrasa sur le sol, brisant toute la vaisselle. Katia elle même manqua de tomber du meuble. Elle frissonna et se crispa, se repliant d'avantage contre elle même, incapable de bouger, pourtant terrifier que la table sur laquelle elle était assise connaisse le même destin.

Mais au lieu de lui faire du mal, comme Jason l'aurait fait, il lui fit le beau discours du chemin que les gens ordinaires se contentaient de prendre, pour entrer dans les normes, mais qui au final mourraient avec des regrets. La rousse baissa la tête, se contentant de rester silencieuse. En fait, pendant longtemps, elle avait été une fille ordinaire, mais lorsqu'elle avait épousé Jason, c'est toute sa vie qui avait changé. Katia pensait savoir dans quoi elle s'engageait. Elle avait prit la décision de ne pas suivre les normes lorsqu'elle épousa ce bad boy. Et pourtant, sa vie dépassait tout ce qu'elle avait imaginé. Une vie de mensonges, de dangers, Jason était un mangemort, un danger pour les autres, mais aussi pour elle. Katia connaissait son secret et son mari en avait conscience. Rien ne l'empêchait de se montrer de plus en plus en violent. Il la tenait entre ses mains, entre ses griffes et savait parfaitement que Kate' ne pourrait s'échapper, ayant trop peur des conséquences. Il était capable de tuer et au moindre faux pas, elle connaitrait le même destin. Il la retenait de force par la peur de la mort.

Et pourtant malgré tout ça, Katia faisait de son mieux pour rester honnête et aimante. Non pas par faiblesse mais par croyance. Elle devait assumer les choix qu'elle avait fait et si elle devait passer le reste de sa vie avec ce monstre, elle le ferait. Non, elle tromperait pas Jason, pas par peur de représailles mais parce qu'elle n'était pas ce genre de femmes mariée qui trompent leur mari. Elle ne pourrait le supporter.

Par ailleurs, si Klaus était plus attentif, il pourrait remarquer les bleus sur ses cuisses et le haut de sa poitrine, des endroits qui montraient qu'elle ne s'était pas fait ces blessures en se cognant ou en tombant. Ces bleus étaient provoqués par la force de coups, qui venaient des mains de son mari. Les moments de colère de Jason lorsqu'elle refusait de se soumettre à lui, lorsqu'elle lui tenait tête.

« Je ne suis pas aussi ordinaire que vous semblez le croire …. »

Klaus s'était rendu au fond de la cuisine pour boire de l'alcool alors que la jeune assistante ne bougeait pas de sa table. Ce qui ne l'empêcha pas de se tourner vers lui lorsqu'il lui demanda ce qui se serait passé entre deux si cette scène était réellement un rêve. Elle rougit en repensant justement à ses rêves torrides et toussota. Elle ne savait pas si le vampire était responsable de tout ça et franchement, elle préférait ignorer la réponse.

« Je …. Si je dois être honnête alors … …. Si c'était un rêve, les choses auraient été autrement, parce que peut-être qu'au fond, je vous désire Klaus … Peut-être que j'éprouve quelque chose pour vous, même si je ne veux pas l'accepter … Mais tout ceci, c'est la réalité, et je ne veux pas jouer … Jamais je ne ferais … ça … sans qu'il y ait de réels sentiments de la part des deux parties. Ca peut vous sembler pathétique et hilarant, mais je ne suis pas une des ces femmes qui vous tombent dans les bras parce que vous êtes sexy, irrésistible et un vampire. …. Et de toute façon, je suis mariée, alors la question ne se pose pas …. Klaus, il serait plus convenable de ne pas tenter le diable, on le regretterait tous les deux …. »

Elle ne doutait pas de la force du vampire, mais elle savait également de quoi était capable Jason. Et étrangement, imaginer Klaus blessé à cause d'elle …. son coeur se serrait dans sa poitrine. Elle ne le supporterait pas.


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okMJ

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Klaus Varney

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« Je ne te crois pas ordinaire, je crois juste que tu ne veux pas être extraordinaire alors que tu as tout pour l’être »

Il y avait de ces moments chez Klaus où l’on décelait dans sa voix une véritable et émouvante sincérité. Si ces mots étaient sortie de sa bouche avec une certaine forme de critique acerbe et mesquine, il n’en restait pas moins sincère et pensait ce qu’il venait de lui dire. Elle avait pour être une femme extraordinaire, intelligente, piquante, pleine de force et de vie, elle était puissante mais s’entêtait à rester l’être faible et gentille qu’elle montrait à tout le monde. Une vie bien rangé, une femme marier, une épouse aimante et aimé, c’était l’image à laquelle elle s’efforçait de s’accrocher et qu’elle s’efforçait de montrer à tout le monde mais aujourd’hui plus qu’un autre jour, Klaus n’était pas dupe.
Mais alors qu’elle lui avouait sans détour que si cela avait été un rêve, une autre situation, elle se serait donné à lui sans culpabilité. Il s’approcha alors d’elle, enfin, le terme exact fut plutôt qu’il apparut face à elle soudainement, l’observa ainsi, de toute sa haute, ses doigts effleuraient les ecchymoses qui parsemait certainement partie de son corps. Klaus pouvait volontiers avouer qu’il était un homme violent mais il y avait des choses sur terre qu’il ne pourrait pas détruire ou blesser. C’était un artiste et il y avait des beautés dans ce monde qui se devait de rester intact et parmi elles, il y avait cette petite sorcière, fragile mais d’une beauté unique…Katia…Elle ne méritait pas qu’on l’abime ainsi comme on casse un vulgaire jouet.

Mais en réalité, dans son discours, il y avait quelque chose qui l’avait frapper, il dégluti légèrement en l’observant ainsi dans les yeux, c’était une chose que de la manipuler, sans était une autre d’admettre ses propres faiblesse.


« Et s’il y avait des sentiments ? »

Admettait-il qu’il éprouvait quelque chose pour elle, d’une certaine manière, oui mais c’était toujours compliquer de savoir si oui ou non c’était la vérité. Après tout, ne venait-il pas profiter d’une situation qu’il avait lui-même provoquer et dont il n’avait rien avoué à l’assistante, la laissant dans le flou total de comprendre pourquoi ses rêves étaient si troubler et pourquoi, peut-être, avait-elle envie de boire encore de son sang. Son sang…Il pourrait-être la solution…


« Tu as le pouvoir de changer ta vie si le souhaite Katia, regarde-moi dans les yeux et dis-moi que tu restes avec cet homme parce que tu l’aime. Dis- moi que c’est pas cet anneau et la peur qui te retiennent ? Je vais te dire une chose, je peux t’aider à surmonter tout ça, à te libérer de tout ça… »

Ses canines semblaient doucement prendre une taille un peu plus imposante, alors qu’il approchait son propre poignet de sa bouche, il se mordit, perçant sa chaire, sa gorge s’inonda de son propre sang alors qu’il tendait à présent son poignet à la jeune fille. Il y avait si peu à faire pour qu’elle obtienne temporaire les capacités d’un vampire, boire de son sang, devenir plus forte, plus résistante, avoir confiance et obliger son mari a quitter sa vie, se libérer de tout ça…Il suffisait de peu…




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Katia Harper

Situation Compromettante


Une femme extraordinaire ? Katia secoua négativement la tête. Certes, elle ne se considérait pas comme une femme faible et serait même très vexée qu'on la considère ainsi. Mais de là à être une personne extraordinaire ? Il ne fallait pas non plus la surestimer. Certes, elle ne se laissait pas marcher sur les pieds, mais elle n'avait jamais fait grand choses dans sa vie qui méritait de grandes éloges.

Suite à son discours, Klaus quitta sa place pour apparaître subitement devant elle. Katia sursauta et se retient de pousser un petit crie surprit. Elle recula doucement sur la table pour ne pas être trop prêt de son corps, de peur d'être de nouveau attirée vers lui tel un aimant. Elle rougit d'ailleurs, incapable de quitter du regard, le vampire, ses yeux glissaient le long du torse de Klaus, avant de se forcer à concentrer sur ses prunelles. Inutile de le mâter ouvertement, elle n'était pas une vicieuse.

Elle détourna donc la tête, de peur de refaire une bêtise, mais le bout des doigts de Klaus effleurèrent ses ecchymoses. Elle gémit doucement de douleur et se raidit avant de reculer légèrement. Certaines blessures étaient encore trop récente et lui faisait mal, datant de seulement quelques jours. Elle ne voulait pas qu'on la touche, comme si elle avait peur que Klaus lui inflige le même traitement. Même si elle était attirée par le vampire, elle en avait tout aussi peur. Niklaus était un homme dangereux et ce n'était pas à négliger.

Elle sursauta de nouveau lorsqu'il émit la possibilité qu'il y ait des sentiments. Katia contrairement aux apparences, n'était pas une fille naïve qui tombait dans les bras du premier homme venu en pensant qu'il l'aimait à la folie. Non, elle était plutôt méfiante, même si elle, elle pouvait facilement ressentir de forts sentiments, elle savait que ce n'était pas toujours réciproque. Non, elle ne le croyait pas une seconde.

« Vous dites ça pour que je devienne votre jouet, mais je refuse de l'être. J'ai subi assez d'humiliation par mon mari, il est inutile que vous prenez la relève, Klaus. »

Et comme elle parlait de son mari, Klaus lui dit qu'elle avait le pouvoir de changer sa vie, de tenir tête à Jason. Il lui demanda de lui dire droit dans les yeux qu'elle l'aimait et que ce n'était pas la peur et le fait qu'elle soit mariée avec lui qui la retenaient. Elle soupira avant de secouer la tête. C'était beaucoup plus compliqué que ça. Si elle s'était mouillée autant dans cette histoire, c'était bien parce qu'elle avait des sentiments, sinon, elle aurait saisi cette occasion pour aller voir les Aurors et leur les activités de mangemorts de son mari.

Elle repoussa doucement son poignet malgré l'offre alléchante. Le sang de Klaus n'était pas la solution.

« J'aime Jason autant que je le déteste. Il y a beaucoup de peur c'est vrai, mais aussi d'autres sentiments … C'est ça qui m'empêche de le quitter. Mais … Mais j'admets que depuis que vous êtes ici, mes convictions faiblissent …. »

Parce qu'il était toujours présent, physiquement la journée et dans ses rêves la nuit. Elle était irrésistiblement attirée par lui, et ça, elle ne pouvait le nier. Elle n'était pas du genre à rester dans le déni, acceptant toujours ses torts afin de faire face aux problèmes qui se posaient. Et Klaus était un problème, parce que de forts sentiments se développaient à son égard. Et elle s'en rendait bien compte. Doucement, Katia laissa ses doigts glisser le long du torse de Klaus. Malgré qu'il soit un vampire, sa peau était chaude, au contact apaisant, si bien qu'elle avait une soudaine envie de se loger dans ses bras pour se sentir protéger. Mais étant à moitié dévêtue, elle ne bougeait pas.

« Je … J'ai tellement peur de tomber amoureuse de vous … Mais je crois que c'est déjà trop tard … que mon coeur est déjà en train de se partager. Mais l'un comme l'autre, je ne finirais que blesser ….. »

Elle baissa la tête et en sentant des gouttes sur ses genoux, elle remarqua que ce n'était pas l'eau dans ses cheveux mais bien de petites larmes qui coulaient sur son visage, sans qu'elle ne puisse les contrôler. Elle garda donc la tête basse.

« Je ne veux pas être votre jouet Klaus … »

Non, elle voulait être beaucoup plus … Elle avait tellement envie de sentir le contact des lèvres de Klaus sur les siennes, elle voulait se blottir contre lui et ne plus le lâcher, et ça, ça lui faisait mal. Parce qu'elle aimait aussi Jason. Jason, elle l'aimait et le haïssait ... Klaus, elle en avait peur et ... et elle était amoureuse. Oui, elle en était amoureuse. Embrasse moi, voulait-elle lui dire. Mais aucun mot ne sortait de sa bouche, alors qu'elle restait là, la tête baisse, les larmes coulant sur son visage. Qu'est-ce qu'il se passait chez elle.


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NPC Amy
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Klaus Varney

Situation Compromettante


Son sang s’écoulait, goutte à goutte, contre le sol de la cuisine du château. Et malgré l’offre qu’il venait de lui faire, elle le refusa. Il ignorait pourquoi il se senti profondément vexer. Devenir un jouer ? Ne l’était-elle déjà pas ? Et il ne pensait pas ça que pour lui-même mais avec les décennies qu’il avait vu passé dans sa vie, il était presque capable de savourer toute l’ironie de cette situation. Elle le repoussait et osait admettre qu’elle n’était indifférente, se plongeant dans une tentative médiocre de lui avouer des sentiments mais aussi de complètement s’en défiler, il ignorait complètement les sentiments qu’il pouvait ressentir en cet instant. Se souvenir encore de son frère qui lui disait que leur condition de vampire avait tendance à exacerbé ces sensations. Lui qui s’y était toujours montré moqueur devant cela se demandait aujourd’hui si, pour une fois, il n’aurait pas mieux fait d’écouter son frère aîné. Elle avait décidé de son sort et il ne pouvait rien y faire. Il lui avait fait une offre qu’elle avait refusée et si cela le mettait profondément en colère, son poignet déjà commençait à refermer les plaies, le sang cessant simplement d’y couler. Il la fixait, l’observa un long moment sans rien dire avant de simplement reprendre la route, la contournant et se dirigeant vers la sortie.

Il s’arrêta pourtant, juste devant la porte. Quelque chose semblait le retenir ici, une étrange envie, quelque chose d’incontrôlé peut-être. Restant un moment dos à elle, fixe, ses yeux fixant le bois de cette porte, la poignée, et son cerveau ne pouvant s’empêcher de s’activer et d’énumérer tout ce qu’il pourrait faire, toute les conséquences possibles, ce qu’il voulait, ce qu’il devait. Tant de chose…Mais une seule d’entre elle retint son intention dans ce flot de « fait ça… »…Une seule chose méritait son attention, c’était ce qu’il avait amené à devenir ce professeur…Sans se retourner, il ouvrit une dernière fois la bouche.


« Je ne veux pas du jouet d’un autre… »

Elle pouvait bien comprendre ce qu’elle voulait derrière cette phrase. Peu lui importait en réalité, à ses yeux, les choses se terminaient simplement ici. Il avait voulu, elle avait refusé, à partir de maintenant elle se débrouillerait seule.




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