Bring ya' baby down
Le Deal du moment :
Carte Fnac+ Jackpot avec 30€ offerts sur le ...
Voir le deal
19.99 €

Aller en bas

okMJ

AMORTENTIA
Zoya Horlov
Zoya Horlov
Gallions : 278
Les cachots, ça avait toujours été le coin idéal des "bad boys" de l’école. C’était le lieu idéal pour trouver un coin tranquille en réalité, un vrai dédale sous le château ce qui permettait, généralement, d’être assez tranquille. C’était l’endroit qu’avait choisi Zoya pour s’en griller une, elle aurait probablement été mieux dehors mais au fond, la serdaigle espérait bien pouvoir croiser quelqu’un juste parce qu’elle envie de le faire chier parce qu’elle-même était en train de s’emmerder. Adosser à une paroi humide du cachot, elle sortit de son jeans troué de partout un paquet de cigarette et un briquet. Callant le bâton de nicotine entre ses lèvres avant de l’allumer et d’en inspirer son poison directement dans ses poumons. Ca manquait d’un petit quelque chose, elle se serait bien défoncer, juste pour le plaisir, enfin…A défaut, elle profitait bien de sa cigarette, c’était déjà bien assez compliqué de s’en procurer sans pouvoir sortir de ce maudit château. Regard dans le vide, elle souffla la fumée remettant en place la bretelle de son haut avant que celui-ci ne dévoile trop de son mince poitrine.

« SALOPE ! »

Au début, Zoya ne remarqua pas directement que ce doux nom lui était adresser, tournant la tête plus par curiosité qu’autre chose. C’est en voyant une furie, rousse, foncé droit vers elle alors que non loin derrière se trouvait une petite troupe qui suivait de loin. Des garçons, des filles, certainement des ami(e)s de cette conne. Elle roula des yeux en l’observant, comprenant toujours pas ce qu’elle lui voulait !

« NE MET PLUS TES SALES PATTES DE SANG DE BOURBE SUR MON MEC POUFIASSE ! »

Lui hurla-t-elle à nouveau alors qu’elle se trouvait maintenant en face de la Serdaigle. Elle regarda la serpentarde, sa peau si pâle virant au rouge vif ne s’accordait pas vraiment au vert de sa cravate. Elle jeta un autre coup d’œil vers le groupe, reconnaissant effectivement un garçon avec qui elle aurait pu avoir passé du bon temps pendant une soirée. Elle esquissa un sourire, reposa son regard sur la Serpentarde qui avait déjà sortie sa baguette et la collait contre la gorge de Zoya. Elle amena à nouveau sa cigarette à la bouche, inspirant sa fumée, avant de le lui cracher à la gueule, ne bronchant pas devant les insultes et les remarques de cette pouffiasse. La laissant simplement se défouler par les mots. Ne se rendant simplement pas compte que celle sur qui elle criait cherchait simplement le moment propice.

Devant le manque total de réactivité de la serdaigle, la rouquine vert et argent avait la sensation d’être tourné au ridicule le tout devant son mec, ses potes et ses amies à elle. Quelque chose qu’elle ne pouvait pas accepter, tant et si bien qu’elle rassembla le peu d’inspiration qu’elle avait pour sortir toute sa répartie en une seule phrase, bien sentie, histoire de tourner Zoya en ridicule.


« Regardez cette planche à repasser, ça fait quoi d’avoir le buste d’un garçon pré-pubère ? »

Se détachant de son mur, elle fixait la serpentarde.


« Tu t’es fait refaire le nez ? »

Lui demanda-t-elle, sourire narquois sur sa fine bouche. La rousse, sans comprendre exactement ce que voulait dire sa concurrente lui répondit par la négative mais à peine avait-elle dit « non » que le poing de Zoya s’abattit à deux reprises sur le nez de l’élève. Lui cassant probablement le nez au premier coup et y ajoutant le deuxième en bonus. Bien évidemment, Zoya avait quelque peu agit sous l’impulsion, ou pour le plaisir de se battre car rapidement son petit copain et ses potes lui tombèrent dessus. Elle avait beau avoir un sacré coup du droit et être capable de se battre…A elle seule contre 5 personnes, elle devint rapidement débordée mais elle ne lâchait pas prise, tentant de donner autant de coup qu’elle put et encaissant ceux qu’elle recevait en retour. Elle avait la lèvre fendu, un cocard et le nez en sang quand ses potes arrivèrent à deux à l’immobilisé en lui tenant les bras alors que devant elle se trouvait le connard du jour.

« T’es vraiment qu’une sous merde… »
« Oh chéri, tu vas me blesser…Hier encore tu disais que je suçais comme une reine… »
« Ferme-là connasse ! »

Elle prit un coup dans l’estomac, eut un peu de mal pour l’encaisser maintenant qu’elle ne pouvait plus pleinement se défendre. Mais malgré la douleur, elle laissa échapper un rire.

« C’est tout ce que tu as à donner...Pas surprenant vu ce dont t’es capable au lit… »
©flawless

okMJ

Saïd S. Wilkes
Saïd S. Wilkes
Gallions : 193
http://zeblograndomness.blogspot.fr/
Du grabuge dans les cachots. Le reste du château ne le savait pas vraiment, mais pour les Serpentards cela relevait presque de la routine. Les voyous des autres maisons aimaient descendre dans les entrailles du château pour y faire leurs méfaits en catimini. Les Serpentards, eux, avaient fait des cachots leur territoire, peu importe l'activité et l'intention.

L'un de ceux qui avait déclaré cette partie du château comme le berceau du danger et de l'interdit était bien évidemment Saïd Wilkes. Pour lui et la bande Serpentard, le château entier était leur territoire, mais il était vrai que Saïd passait plus souvent dans les cachots pour rejoindre la salle commune des Serpentards. Et plus de Saïd signifiait plus de danger.
Pourtant aujourd'hui, le fauteur de trouble n'était pas l’Égyptien. Au contraire, c'est très calmement qu'il s'approcha de la scène sans dire un mot.

Lentement, il se pencha pour ramasser le mégot encore allumé qui traînait au sol. Il la porta à ses lèvres pour inspirer une douce bouffée de fumée. Adossé contre la paroi humide du cachot, il observa la scène avec un petit sourire. On ne l'avait pas encore remarqué.
Mais son sourire eu soudain un petit tressaut. Quelque chose qu'avait insinué Zoya. Il écrasa la cigarette au sol.

- J'peux m'incruster ? demanda-t-il allègrement en posant une main sur l'épaule du leader de la petite bande.
Tous se figèrent un instant, dévisageant le nouvel arrivant sans parvenir à masquer leur peur. On aurait dit qu'un grizzli était soudainement venu leur demander l'heure. La comparaison n'était pas si fausse.
Interdits, ils ne lâchèrent pourtant pas Zoya. Saïd Wilkes n'était-il pas le roi de la violence ? Et cette fois, ils ne faisaient pas partie du gibier car eux-même étaient des agresseurs. Ils ne risquaient rien ? Tentant de se rassurer, l'élève esquissa un petit sourire incertain, incapable de vraiment répondre.

- Laisse-moi te montrer comment on fait. dit Saïd en le poussant sur le côté. Tenez-la bien. ordonna-t-il cependant aux acolytes qui s’exécutèrent sans un mot.

Un sourire malsain aux lèvres, Saïd défit lentement sa ceinture. Il se délecta des regards choqués de ses camarades. Le lynchage bien sûr mais le viol non ? Amateurs.
Dévoilant son boxer noir, il jeta son pantalon à la figure d'une des filles qui couina. Il lui fit un clin d'oeil et lui envoya un baiser dans l'air. Elle n'osa même pas grimacer.
Se retournant vers Zoya, il s'abaissa doucement pour se caler entre ses cuisses. Son regard doré se posa sur son visage abîmé et son sourire tressaillit une nouvelle fois.

- Salut catin. T'es venu chercher la merde ? Et ben... je suis là. lui susurra-t-il à l'oreille langoureusement. Sa dernière phrase ne sonnait pas aussi moqueuse et narquoise que le reste, elle semblait presque rassurante. Avec force, il pressa ses lèvres contre les siennes, mordant ses lèvres ensanglantées et se délectant de sa langue chaude.

Les élèves détournèrent le regard, gênés par ce baiser étrange. Il était si langoureux, si long... Ils ne comprirent pas tout de suite que ce n'était l'idée du viol qui devaient les déranger, mais le fait qu'ils ne sachent pas tout de la relation entre Saïd et Zoya. Saïd se releva enfin, essuyant ses lèvres d'un revers de manche.

- Une vrai bouche de suceuse. grogna-t-il avec un sourire avant de déboutonner sa chemise.

Se retournant vers les autres élèves, plus embarrassés que jamais de devoir être complice d'un crime, Saïd eu un sourire moqueur.

- Show time. annonça Saïd, son sourire reliant ses deux oreilles.

Jetant sa chemise au visage du premier élève, il lui bloqua la vue une fraction de seconde et lui fracassa son poing dans la figure. Il ne lui laissa même pas le temps de tomber qu'il le rattrapait par le cuir chevelu et l'éclata contre un des piliers des cachots.
La surprise et la confusion avait figé les autres élèves dans l'horreur et la terreur. Cela permit à Saïd de mettre un nouveau coup dans le menton d'un autre garçon. Un troisième se rua sur lui mais Saïd l'ignora, agrippant les cheveux blond d'une des filles qui s'était mise à fuir. Il se prit quelques coups mais s'assura d'une béquille et d'un bon coup de pied une fois la demoiselle au sol, qu'elle ne s'enfuirait pas plus loin.

L'Egyptien se retourna alors vers les deux garçons encore debout. Ils étaient bien bâtit et savaient se battre, mais leurs coups ne semblaient avoir aucun effet sur l'élève en furie. Eux frappait pour blesser, pour se défendre, lui frappait pour démolir. Ils tombèrent bientôt au sol en gémissant. Les échos des pas précipités de la dernière fuyarde attira l'attention de Saïd qui se retourna lentement en essuyant le sang qui avait giclé sur son visage.

La rousse était presque au bout du tunnel du cachot, trop loin, mais de tout manière Saïd n'avait pas l'intention de lui courir après. D'un mouvement vif et lisse du poignet, il fouetta l'air de sa baguette magique en grommelant la formule.
La fuyarde poussa un petit cri de surprise en sentant sa cheville droite se bloquer et la faire tomber face contre terre. Elle se mit à pleurer mais sa gorge se serra lorsqu'elle se sentit tirée lentement vers Saïd. Elle se mit à couiner, traînée jusqu'à ses amis inconscients.

- Ferme-la ou je te fais taire avec ma queue. ordonna-t-il en la fusillant de son regard jaune. Elle hoqueta et se tu.

- C'est mon anniversaire ? demanda-t-il joyeusement en se retournant vers Zoya. J'sais pas si c'est le tien mais en tout cas, cadeau. ajouta-t-il en désignant la rousse tremblotante à ses pieds.

S'éloignant d'un pas léger, il laissa Zoya prendre un peu son pied pendant qu'il se rhabillait.

okMJ

AMORTENTIA
Zoya Horlov
Zoya Horlov
Gallions : 278
Si personne n’avait remarqué Saïd, Zoya elle, l’avait vu arriver, sa clope en bouche. Souriant un peu plus, c’était peut-être sa présence qui ajouta un nouveau fou-rire devant un autre coup de ces enflures. Elle ignorait complètement comment cela pouvait se terminer. Avec Saïd, il pouvait autant se joindre à ces joyeux lurons juste pour le plaisir tout comme il pouvait la sortir de ce mauvais pas, dans tous les cas, elle ne lui fut pas l’honneur de le supplier d’un regard, si elle devait finir à l’infirmerie, qu’il en soit ainsi. Annonçant enfin sa présence aux andouilles, elle fixait tignasse de mouton sans le lâcher du regard, si par contre il avait l’audace de se joindre à eux pour le plaisir de la cogner, elle lui ferait probablement avaler ses dents dès qu’elle serait en état de le faire. Il avait plutôt pas intérêt à la louper, parce qu’elle…Elle ne le louperait pas.
Elle cracha à terre un filet de sang, si elle aimait son gout, il avait tendance à la faire beaucoup trop saliver. Prenant un malin plaisir à cracher sur la chaussure de ce connard de Wilkes. Le provocant volontairement alors qu’il demandait à ce qu’on la tienne bien. Depuis quand Saïd avait-il besoin de cafard pour maintenir sa proie en joue ? Arquant un sourire, elle s’apprêtait à lui dire quelque chose lorsqu’elle le vit retirer sa ceinture.

A quoi il joue là ? Pendant une seconde, la panique traversa son regard, elle connaissait assez bien le bougre pour savoir qu’il était indéniablement imprévisible et par définition, il était difficile pour elle de savoir ce qui traversait l’esprit de ce tordu, elle le connaissait très bien, trop bien, assez bien pour savoir qu’il pouvait être capable d’absolument tout, le pire comme le meilleur. Elle chercha à se défaire des garçons qui la maintenait quand Saïd s’approcha d’elle, si elle était ouverte au proposition les plus tordus et probablement capable de s’envoyer en l’air n’importe où, là maintenant tout de suite elle n’était pas franchement d’humeur à ce genre de frivolité encore moyen avec ce genre de témoin, cela lui laissait une trop grand impression de domination et cela l’enrageait littéralement, tel un animal en cage, elle semblait plus frustrée par l’idée d’être à la merci de Saïd Wilkes plutôt qu’à l’idée qu’il puisse tout bonnement abusée d’elle.
Il se glissa entre ses cuisses, se maudissant elle-même d’avoir, durant une seconde, un frisson qui lui parcours l’échine, un bref moment d’excitation malsaine. Son regard se calant au sien, elle oublia la situation précaire dans laquelle elle se trouva dans trois mots qu’il prononça.

Elle chercha le contact de sa bouche autant que lui, leur baiser échanger et surtout partager semblaient littéralement mettre mal à l’aise, elle pouvait presque sentir les deux garçons qui la tenaient malgré tout défaillir légèrement et hésiter. Pourtant, elle ne profita pas de l’instant pour se défaire, oh non…Elle savait, ce n’était pas encore à elle de jouer. Alors qu’il recula pour quitter ses lèvres, elle, elle tenta d’avancer pour les garder plus longtemps malgré la vive douleur qui électrisa sa bouche suite à sa morsure.
Il ôta sa chemise, ajoutant un peu plus de gêne à cette scène déjà bien assez étrange et dégueulasse comme ça. Il jeta sa chemise au visage d’un garçon, et c’est là que tout commença. En quelque seconde elle s’était retrouvé libéré, spectatrice alors de ce que Saïd pouvait faire de mieux : la violence.

La Serdaigle aurait pu y participer mais elle appréciait simplement le spectacle, cherchant son paquet de cigarette pour en reprendre un étant donné qu’on avait interrompu sa précédente pause clope.
Captivée par ce qui se passait sous ses yeux, elle n’en restait pas moins prudente, surveillant un peu Saïd, il pouvait aller trop loin devant l’euphorie et le pouvoir qu’avaient les élèves de leur promotion. Pourtant, Zoya ne parierait pas sur l’impossibilité de quitter le château pour ne pas être punit en cas de meurtre. La tentation pouvait être grande mais au fond, la Serdaigle avait bien des défauts mais elle n’était pas une meurtrière. L’égyptien par contre…Il pourrait bien succomber à cette tentation. Pourtant, il semblait se contrôler, ramenant à ses pieds la petite rousse à qui elle avait déjà casser le nez. Source de tout ce joli foutoir. Quittant une nouvelle fois son mur, clope en bouche, elle s’accroupi au niveau du visage de la demoiselle…Regardant son nez.


« C’est moche… »

Dit-elle naturellement, pas vraiment triste pour elle, ce n’était qu’une constatation, la vérité et elle savait que cela serait bien assez pour perturber cette petite demoiselle superficielle. Elle inspira un peu de son poison, soufflant sa fumée à la figure.

« Tu sais c’est quoi la leçon de toute cette histoire ? »

Elle s’allongea sur le sol pour être parfaitement à la hauteur de la demoiselle, dégageant quelque mèche de cheveux :

« Me fait pas chier… Tu as compris ? »

Tremblante, elle murmura plusieurs « oui » en secouant positivement la tête.

« Je vais t’aider à t’en souvenir… »

Elle tira une longue bouffé de nicotine, observant en louchant un peu l’embout rougeoyant de sa cigarette avant de l’éloigner de sa bouche. Elle souffla sa fumée sur sa cigarette, l’approchant alors du cou de la jeune fille. Une marque, une seule, assez douloureuse, le bout de sa cigarette contre sa peau, elle laissa l’adolescente crier. Elle était persuadée à présent que la demoiselle n’irait plus jamais chercher des problèmes. Elle serait sage et c’était tout ce qui importait la Serdaigle.

« Je t’interdis de soigner ça, je le verrai et je serai obligé de recommencer… »

Finissant par se relever, l’adrénaline de son corps commençait doucement à descendre tant et si bien qu’elle posa une main contre son ventre, possible qu’il lui ait casser une côté l’enfoiré, elle verra ça plus tard, pour l’instant, c’était son nez qui l’inquiétait. Elle l’avait sentie, il était plus exactement en place.

« Je vais avoir besoin de toi »
©flawless

okMJ

Saïd S. Wilkes
Saïd S. Wilkes
Gallions : 193
http://zeblograndomness.blogspot.fr/
Rhabillé et tout propre, Saïd glissa une main dans ses bouclettes alors qu'un sourire satisfait anima ses lèvres. Une bonne bastonnade était comme une bonne partie de jambe en l'air pour l'Egyptien. Cette fois n'avait pas été un très grand challenge malgré le nombre d'adversaires. On ne l'avait pas vraiment amoché et ayant épargné ses habits de projections de sang, il était complètement impossible de deviner que Saïd venait de mettre une raclée à qui que ce soit. Un peu comme une bonne branlette sous la table.

Le Serpentard ne fit aucunement attention à se qu'il se passait à côté de lui, malgré les pleurs et les cris. Il avait eu sa dose de fun et était prêt à continuer sa vie. Seulement la voix de Zoya s'éleva, s'adressant à lui. Il s'arrêta en grimaçant. Pourquoi devait-elle tout gâcher ?

- Tu déconnes j'espère ! rétorqua Saïd en se retournant néanmoins.

Pour qui le prennait-elle ? Son chevalier servant dans son armure brillante ? Il était venu pour le sang et les os qui craquent, pas la sauver de ses propres conneries. Du moins, c'est ce dont il était persuadé.

- La seule chose dont tu vas avoir besoin c'est d'un baume à lèvre après la pipe que tu me dois maintenant ! se moqua-t-il, la colère néanmoins visible dans ses iris jaune.

Il grogna et soupira doucement, observant le visage ensanglanté de Zoya. Ce n'était pas un secret, le sang c'était son fétiche. Mais l'angle étrange dans lequel pointait son nez fin manquait terriblement d'esthétisme. Levant les yeux aux ciels d'un air plus que blasé de céder aux caprices de la Serdaigle, Saïd pointa sa baguette sur Zoya.

- Episkey. Et ça, je te le tarife trois pipes. C'était un plaisir de faire du business avec vous, Zoya Horlov.


okMJ

Contenu sponsorisé
Revenir en haut